Citations de spécialistes
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Autolyse des tumeurs
"Les tumeurs étant composées de tissus du même genre que les autres tissus du corps, elles sont susceptibles de désintégration autolytique, de même que les tissus normaux, et elles se résorbent et sont digérées dans certaines circonstances et en particulier pendant le jeûne." (Shelton)
Fibrome autolysé
"Une femme de moins de 40 ans avait un fibrome utérin de la grosseur d'un pamplemousse moyen. Il se résorba complètement en vingt-huit jours d'abstinence totale de nouriture, excepté d'eau." (Shelton)
Fibrome autolysé lentement
"Une femme dont le fibrome était de la grosseur d'un oeuf d'oie dont le jeûne dura vingt et un jours réduisit la tumeur à la grosseur d'une noix. Un autre jeûne, qui eut lieu quelques semaines plus tard et qui dura dix-sept jours, fut nécessaire pour amener la résorption totale de la tumeur. C'est un exemple de résorption particulièrement lente." (Shelton)
Autolyse sélective
"Mon expérience du jeûne m'a montré, sans l'ombre d'un doute, qu'une excroissance, quelle qu'elle soit, peut être résorbée dans la circulation lorsqu'on oblige le corps à utiliser comme nourriture tout élément inutile qui y est contenu." (Macfadden*)
*MacFADDEN, Bernarr : (1868-1955) Américain, contemporain du docteur Shelton, auteur de plusieurs livres sur la santé, l'éducation physique, l'alimentation et le jeûne. Il produisait d'innombrables revues en rapport avec la santé.
Jeûne et infection
"j'ai vu de nombreux cas d'infection de différentes sortes se rétablir complètement par le jeûne. Prenez, par exemple, un cas avancé de sinusite, ayant subi cinq ou six opérations douloureuses. (...) Quand des malades de cette sorte se rétablissent complètement après un jeûne prolongé, comme c'est le cas pour la plus grande majorité d'entre eux, n'est-ce pas là une preuve suffisante pour établir que le jeûne, d'une manière ou d'une autre, augmente la résistance de l'organisme à l'infection? Ce qui est vrai pour la sinusite, l'est également pour d'autres infections, même celles qui sont anatomiquement situées de telle sorte qu'elles ne peuvent pas être drainées chirurgicalement (Shelton)
Jeûne et acidose
"J’ai noté ces symptômes supposés d’acidose. Je considère ces symptômes comme faisant partie d’une crise et comme étant bénéfiques en conséquence. J’ai noté à plusieurs reprises que plus ces symptômes sont graves et plus le malade bénéficie du jeûne, et cela avec une plus grande rapidité." (Shelton)
NB. À noter que Shelton écrivit cela dans les années 30. Dans ces mêmes années, des recherches scientifiques dont celles de Reding (prix Nobel 1931) montraient qu'en état d'acidose, les cellules mutées ou cancéreuses ne peuvent se développer.
Consommation d'eau
« Même quand on boit beaucoup d'eau, il n'y a aucun danger de « diluer » les nutriments qu'on a ingérés ou de les excréter. Un très grand apport d'eau, au-delà de la quantité nécessaire pour les fonctions biologiques, n'occasionnera pas de bénéfices magiques, cela n'améliorera pas la fermeté ou l'apparence de la peau, de même que la santé des ongles et des cheveux » (Hélène Baribeau nutr.)
Aggravation des symptômes
"Les différents symptômes qui se manifestent dans le jeûne ne représentent pas une aggravation de l’état du malade. Au contraire, ils sont symptomatiques de certains changements vitaux internes, fonctionnels ou organiques qui s’effectuent toujours en vue d’une amélioration." (Shelton)
Anémie et jeûne
"Que le corps possède une réserve considérable de fer, même dans l’anémie pernicieuse, est prouvé par la régénération rapide du sang et la grande augmentation d’hémoglobine et de globules rouges pendant un jeûne dans ce cas." (Shelton)
Des réserves de qualité
"Le corps a un très grand stock de réserves nutritives destinées à être employées en cas de nécessité, et qui peuvent être utilisées dans ce cas avec une facilité plus grande et avec moins de dépense de la part du corps qu'avec la nourriture assurée par le laborieux processus de la digestion; en effet, il est moins coûteux pour l'organisme de fournir l'alimentation demandée sur ses réserves nutritives, plutôt que de l'élaborer par le mécanisme digestif à partir de matériaux bruts." (Shelton)
Sécrétion et excrétion
"(Durant le jeûne), toutes les muqueuses haussent leur niveau de sécrétion pour drainer les déchets que le sang y dépose; la bouche, les yeux, le vagin, les oreilles, les bronches et les narines produisent des sécrétions plus abondantes selon les organes en nettoyage." (Boudreau)
les réactions d'autolyse diffèrent d'une personne à l'autre
"Puisque chaque personne a des gènes exclusifs, un tempérament particulier, un environnement familial personnel et des habitudes de vie bien à elle, son état de santé et ses réactions la démarquent (...) En période de jeûne, les différences se maintiennent. Comme le degré d'intoxication et d'endommagement des tissus de l'organisme varie d'une personne à l'autre, les réactions d'autolyse diffèrent d'une personne à l'autre." (Boudreau)
Énergie récupérée par l'autolyse
"Lorsqu'on jeûne - c'est-à-dire quand on ne mange pas, on ne boit que de l'eau - on entend souvent dire "vous allez être faible car vous ne mangez pas". C'est vrai qu'on va être faible, mais ce n'est pas par manque de nourriture, l'énergie y est encore. C'est parce qu'à la faveur du jeûne, l'organisme et la force vitale dirigent leur énergie vers le processus de rétablissement, de restructuration, d'élimination et donc soustraient cette énergie à la force physique et à la force mentale." (Passebecq)
Comment les tumeurs sont autolysées
"Les tumeurs étant composées des mêmes sortes de tissus que les autres structures du corps, sont susceptibles de désintégration autolytique, tout comme le tissu normal, et subissent ainsi que le prouve l’expérience, la dissolution et l’absorption grâce à des circonstances variées, mais spécialement pendant le jeûne. Le lecteur peut aussi comprendre comment il réduira la grosseur de la tumeur, ou la fera disparaître tout à la fois." (J.H. Tilden md)
Calculs biliaires et jeûne
"Le jeûne normalise la bile de sorte que les calculs biliaires sont dissous selon la grosseur du calcul et l'état général du sujet." (Shelton)
Jeûne, stress et équilibre hormonal
"Le stress intoxique l’organisme. Il brouille notre équilibre hormonal, élève les taux de sucre et de cholestérol dans le sang et diminue nos forces de défense. C’est pourquoi l’exercice du jeûne pendant des périodes particulièrement stressantes de la vie n’est pas recommandé. "(Boudreau)
Jeûne et virus
"La seule arme efficace pour détruire un virus est l'anticorps fabriqué par nos cellules de défense. Pendant le jeûne, notre système de défense peut se consacrer entièrement au combat immunitaire" (Boudreau)
Déminéralisation et jeûne
"Nous savons, naturellement, que le corps nourri d'aliments dénaturés est capable d'extraire les minéraux de ses propres tissus, mais sa réserve minérale n'est jamais suffisamment grande pour satisfaire les demandes constantes faites par un régime déminéralisé. Le régime déminéralisé épuise ces réserves très rapidement. Pendant un jeûne, il n'y a pas de demande semblable faite aux réserves minérales du corps. Les réserves de vitamines (complétines) qu'on suppose être stockées dans le foie et dans quelques autres organes internes, sont aussi beaucoup plus rapidement épuisées par un régime défectueux que pendant un jeûne." (Shelton)
Jeûne et science
"En occident, le jeûne a intéressé certains scientifiques, en particulier à partir des années 20, alors qu’on connaissait peu à peu les bases de la physiologie du corps humain. On pouvait donner un sens médical au jeûne, mais à part quelques prêcheurs parfois célèbres comme le Dr Shelton, qui a accompagné (des milliers) de jeûneurs, le corps scientifique s’est toujours détourné de ce sujet, peut-être trop imprégné de sens religieux et de mysticisme ? C’est possible, ou bien trop simple et à la portée de chaque malade ? C’est aussi une explication, une méthode aussi simple, si elle s’avérait efficace, pouvait écorer le pouvoir médical." (EfferveSciences)
Jeûne et souffrances
"Le jeûne n’est pas toujours une expérience agréable, mais il n’est pas agréable non plus d’être malade. Il n’est sûrement pas plaisant de traverser une période durant laquelle on doive prendre des médicaments. Mais le jeûne peut être une période d’aise et de plaisir. La personne qui souffre après chaque repas peut être parfaitement à l’aise pendant un long jeûne." (Shelton)
Pertes de poids mortelles
"Les changements structurels pendant le jeûne sont en grande partie ceux qui résultent de la perte de poids. En cas de mort par inanition, la perte de poids totale peut s’élever de 50 à 60 %*. De telles pertes ne sont pas enregistrées dans le jeûne. Les organes ou tissus particuliers montrent un dépérissement très inégal, certains vivant aux dépens des autres." (Shelton)
* 50 à 60 % du poids normal que devrait perser la personne.
Après les glucides et les protéines : les lipides
"Après environ deux semaines de jeûne, l'utilisation des protéines atteint un plateau; un autre carburant majeur entre alors enjeu: les lipides (ou gras). L'utilisation des lipides se développe graduellement depuis le troisième jour de jeûne, pour atteindre un niveau maximal au quatorzième jour et s'y maintenir." (Boudreau)
Détoxication et perte de poids
"La perte de poids est aussi plus marquée chez les personnes très fatiguées et toxémiques. Les réactions de détoxication intenses qui se déroulent dans les organismes chargés de toxines et de déchets commandent beaucoup d'énergie pour s'accomplir. Les personnes intoxiquées brûlent donc énormément de calories pour nettoyer leur organisme." (Boudreau)
Facteurs favorisant l'autolyse?
"La vitalité de la personne, la présence d'autres foyers toxémiques dans l'organisme qui solliciteront aussi son système de défense et l'état de détente que la personne saura atteindre influenceront le déroulement du jeûne et la durée des réactions d'autolyse." (Boudreau)
L'instinct de survie durant le jeûne
"(en jeûne) le cœur est peu affecté, même dans l’inanition. Les cellules du cerveau ne sont pas endommagées. Les os ne sont pas affectés. C’est seulement dans la période d’inanition que les muscles perdent suffisamment pour empêcher le mouvement et les glandes s’épuisent jusqu’à ce qu’elles ne soient plus capables de produire leurs sécrétions, et la mort en résulte." (Shelton)
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