Citations de spécialistes
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les jeûnes s'additionnent
"D'un jeûne à l'autre, l'autolyse progresse; la détoxication reprend là où elle s'était arrêtée. Lucie, qui souffrait de fatigue chronique, a jeûné à deux reprises pour obtenir des résultats satisfaisants. Ayant appris à bien se nourrir, elle a conservé après son premier jeûne un bon état physiologique. Le deuxième jeûne fut donc doublement fructueux et efficace. Les réactions s'enchaînent d'un jeûne à l'autre, en autant que l'état physiologique n'ait pas été détérioré par la reprise d'habitudes nocives (alcool, cigarette, excès de viandes ou de gras)." (Boudreau)
réparation bien orchestrée
"Au cours du processus d'autolyse, les constituants des cellules et des tissus sont sacrifiés par ordre d'endommagement. En désintégrant ses tissus endommagés pour s'en nourrir ou en éliminer les déchets, notre corps se répare en profondeur. Il s'agit d'un contexte tout à fait particulier, difficile à recréer par d'autres techniques thérapeutiques." (Boudreau)
stress et jeûne
"Le stress intoxique l’organisme. Il brouille notre équilibre hormonal, élève les taux de sucre et de cholestérol dans le sang et diminue nos forces de défense. C’est pourquoi l’exercice du jeûne pendant des périodes particulièrement stressantes de la vie n’est pas recommandé. "(Boudreau)
Dernière édition par Luc le Mer 4 Juil 2012 - 11:03, édité 1 fois
besoins nutritiques réduits
"En jeûne, le phénomène d'économie des nutriments produits par la diminution de la masse active des muscles, du tissu cutané et du tissu digestif réduit les besoins vitaminiques : nos tissus moins actifs ont des besoins plus restreints." (Duverney-Guichard)
des réserves de qualité
"Le corps a un très grand stock de réserves nutritives destinées à être employées en cas de nécessité, et qui peuvent être utilisées dans ce cas avec une facilité plus grande et avec moins de dépense de la part du corps qu'avec la nourriture assurée par le laborieux processus de la digestion ; en effet, il est moins coûteux pour l'organisme de fournir l'alimentation demandée sur ses réserves nutritives, plutôt que de l'élaborer par le mécanisme digestif à partir de matériaux bruts." (Shelton)
menu de l'organisme en jeûne
"Durant le jeûne, le phénomène de l'autolyse entre en action. C'est un phénomène que le corps contrôle parfaitement et par lequel les matériaux inutiles sont d'abord digérés. Les premiers à être digérés sont la graisse, les excroissances morbides, puis les autres tissus. C'est ainsi que les tumeurs sont éliminées, alors que le système nerveux n'est pas touché." (Mosséri)
Quand arrêter le long jeûne?
"Dans la maladie chronique on ne peut pas toujours jeûner jusqu'au bout. Si un malade chronique a commencé un jeûne qui ne lui provoque aucune complication, il n'y a pas de raison d'abandonner avant d'avoir obtenu les résultats désirés, ou bien avant que la nature n'indique qu'il est temps de le rompre ... Dans les cas où un long jeûne est nécessaire, on peut compter sur la nature même pour indiquer quand le jeûne doit être terminé. Dans bien des cas il vaut probablement mieux faire plusieurs jeûnes courts en s'alimentant soigneusement entre temps, plutôt que de tenter un long jeûne." (Shelton)
diète restrictive ou jeûne
"Toutes les diètes de fruits ou d'autres aliments ont un grand désavantage sur le jeûne c'est qu'elles entretiennent la faim, tandis qu'avec le jeûne, la faim disparaît dès le début. Il est plus facile de jeûner que de manger peu." (Mosséri)
l'autolyse cellulaire
"L'élimination se passe surtout au niveau des cellules qui forment tout l'organisme. Quand cette cellule trouve sur son chemin une particule alimentaire, elle l'englobe, la digère, l'absorbe et l'assimile. Après cette élaboration, elle rejette les déchets dans le sang. Voilà l'autolyse. C'est l'élimination des déchets cellulaires dans le sang, déchets du métabolisme." (Vetrano)
jeûne et prothèse
"Il n'y a pas de problèmes à jeûner avec une prothèse. Le corps est intelligent, il encapsule la prothèse pour se protéger et la garde. Il y aurait problème de rejet avec une greffe, c'est pour ça que les gens prennent des médicaments anti-rejet." (Arsenault)
succès ou échec
"Souvent, quand on poursuit le jeûne deux, trois, ou quatre jours on franchit la ligne de l'échec vers le succès total." (Shelton)
cure vs jeûne
"Pour recréer un milieu sain, riche et dynamisant qui permette aux cellules de retrouver leur vitalité, la cure de détoxication la plus rapide et la plus efficace est le jeûne." (Boudreau)
économie d'énergie
"Chez le malade aigu, les muscles volontaires sont au repos et ne coûtent rien pour leur maintien, sauf une petite dépense pour les garder prêts à l'action quand leur service sera réclamé. C'est ainsi que l'économie la plus parfaite est exercée dans l'appropriation et dans l'usage des énergies vitales." (Jenning)
Comment augmenter notre énergie?
"Le seul moyen de rétablir un niveau bas de tolérance envers les toxines c'est de modifier le mode de vie et de s'assurer assez de repos et de sommeil pour récupérer l'énergie nerveuse, de sorte que les organes puissent fonctionner de nouveau au niveau physiologique le plus élevé." (Vetrano)
Re: Citations de spécialistes
"Les tumeurs étant composées des mêmes sortes de tissus que les autres structures du corps, sont susceptibles de désintégration autolytique, tout comme le tissu normal, et subissent ainsi que le prouve l’expérience, la dissolution et l’absorption grâce à des circonstances variées, mais spécialement pendant le jeûne. Le lecteur qui peut comprendre comment le jeûne réduit la quantité de graisse du corps et comment il réduit la grosseur des muscles, peut aussi comprendre comment il réduira la grosseur de la tumeur, ou la fera disparaître tout à la fois." (J.H. Tilden md)
Tiré de "La TOXÉMIE expliquée"
Tiré de "La TOXÉMIE expliquée"
jeûne et maladies infectieuses
"Dans les cas d'inflammation du tube digestif, tels que la gastrite, l'entérite, la péritonite, la dysentrie, la diarrhée, la fièvre typhoïde, le typhus, le choléra, la typhlite, l'apendicite, etc .. il est essentiel de prolonger le jeûne plusieurs jours après la disparition de la fièvre et des autres symptômes. Même dans les maladies aiguës à caractère bénin, il est toujours bon de continuer le jeûne au moins vingt-quatre heures après la disparition des symptômes." (Shelton)
Jeûne et cortisone
"Chez de nombreux patients qui prenait l'ACTH (hormone corticotrope) et la cortisone la veille de leur admission pour jeûner, les médicaments furent arrêtés brusquement et ils commencèrent le jeûne de suite. Personne n'en est mort ou n'a manifesté des signes de danger. Seulement j'ai remarqué que ces malades se remettaient plus lentement que ceux qui n'ont pas pris ces médicaments. (Shelton)
Tiré du livre "Jeûner pour revivre" : réponse à une question de Mosséri adressé à Shelton.
Aider l'organisme en jeûne
"Durant le jeûne, ce sont les forces curatives du corps qui sont à l'œuvre pour opérer sa régénération. Le premier et le plus important devoir du jeûneur consiste à ne pas contrarier ces efforts. Le repos alimentaire doit être complet sinon les organes sont entravés dans leur travail d'élimination et de rénovation." (Dr Bertholet*)
* Bertholet, Edouard (1883-1965) : médecin suisse auteur de quelques ouvrages sur le jeûne thérapeutique.
Cellules cancéreuses et jeûne
"Les peuples qui survivent selon les cycles de la nature sont soumis à des périodes de jeûne annuelles. Cet état de jeûne partiel crée des changements métaboliques tels que les cellules cancéreuses ne peuvent survivre." (Willem J.P. md)
Jeûne, acidose et cellules cancéreuses
"Les réactions d'autolyse peuvent se dérouler dans les tissus les plus profonds, auxquels la chirurgie a un accès limité, et un niveau de foyers d'infection que les techniques de diagnostic ne peuvent dénicher ou identifier clairement. Les cancers les plus précoces et les plus réversibles peuvent donc être combattus, car les cellules cancéreuses ne suvivent pas à l'état d'acidose créé dans un organisme en jeûne. (Boudreau)
jeûne et typhus
"En 1830, un médecin américain, soignait une jeune fille atteinte du typhus; sa patiente étant très souffrante, même la prise de médicaments s'avérait dangereuse. Il se résigna à l'"abandonner" à son sort, après avoir recommandé de lui faire boire de l'eau pure et de la laisser au repos. À sa grande surprise, la jeune fille prit du mieux et se rétablit complètement du typhus." (Dr Isaac Jennings)
Principale source d'énergie en jeûne
"Les lipides - nos graisses - comblent 90 p. 100 de nos besoins d'énergie en jeûne. Les lipides sont dégradés pour former des corps cétoniques, utilisables par tous nos organes vitaux. En se nourissant des corps cétoniques, notre organisme épargne ses réserves de glucose." (Boudreau)
nourriture de l'organisme en jeûne
"Il est intéressant de noter que le contrôle de l'autolyse s'étend également aux tissus malades, tels que tumeurs, dépôts, écoulements, etc ... et qu'il n'est pas limité aux tissus normaux. Des enzymes intra-cellulaires qu'il possède, le corps est capable de digérer ses propres protéines, lipides et glucides. Le corps est capable de contrôler le processus d'auto-digestion, et il le limite strictement aux tissus non essentiels. Le corps est capable d'utiliser les produits terminaux de la désintégration autolytique de ses popres tissus pour nourrir ses parties les plus essentielles et les plus vitales." (Shelton)
En jeûne, faiblesse = force
"Lorsqu'on jeûne - c'est-à-dire quand on ne mange pas, on ne boit que de l'eau - on entend souvent dire "vous allez être faible car vous ne mangez pas". C'est vrai qu'on va être faible, mais ce n'est pas par manque de nourriture, l'énergie y est encore. C'est parce qu'à la faveur du jeûne, l'organisme et la force vitale dirigent leur énergie vers le processus de rétablissement, de restructuration, d'élimination et donc soustraient cette énergie à la force physique et à la force mentale." (Passebecq*)
* PASSEBECQ, André (1920-2010) : Après des études de médecine aux U.S.A. , il est diplômé de naturopathie (Académie des sciences et recherches de Montréal), de physiothérapie, d’ostéopathie, de rééducation visuelle (méthode Bates) ; il est également docteur en psychologie et diplômé en organisation scientifique du travail (facteur humain), en graphologie
Être actif ou au repos
"Il n'existe pas de méthode plus efficace d'accroissement de l'autolyse que celle du repos. Certains s'imaginent que l'exercice hâte l'autolyse. Erreur. L'exercice ou la marche dévient les énergies vers les muscles et ralentissent donc l'autolyse. Une activité accrue augmente la production des déchets alors qu'une activité réduite restreint la production des toxines. Une activité accrue dépense de l'énergie, tandis que le repos et le sommeil conservent l'énergie." (Mosséri)
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