Citations de spécialistes
3 participants
Page 8 sur 9
Page 8 sur 9 • 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9
Jeûne et cheveux
Mes observations montrent que la pousse des cheveux est lente pendant
un jeûne et que la barbe est beaucoup plus douce qu’à l’ordinaire, le corps
sacrifiant les poils dans l'intérêt des structures plus importantes, bien que le
jeûne arrête fréquemment la chute des cheveux. (Shelton)
Régime déminéralisé vs jeûne
Le corps nourri d'aliments dénaturés est capable d'extraire les minéraux de
ses propres tissus, mais sa réserve minérale n'est jamais suffisamment
grande pour satisfaire les demandes constantes faites par un régime déminéralisé.
Le régime déminéralisé épuise ces réserves très rapidement. Pendant un jeûne,
il n’y a pas de demande semblable faite aux réserves minérales du corps.
Les réserves de vitamines (complétines) qu’on suppose être stockées dans le foie
et dans quelques autres organes internes, sont aussi beaucoup plus rapidement
épuisées par un régime défectueux que pendant un jeûne. (Shelton)
Jeûne au repos vs jeûne actif (Mosséri)
"De temps en temps, on me rapporte l'histoire d'une personne qui a fait un jeûne tout en continuant ses activités journalières. Quand on jeûne de la sorte 15 jours, c'est comme si on jeûnait 5 jours alité. En effet, les résultats obtenus quand on jeûne en travaillant sont peu satisfaisants. L'élimination se déroule à un rythme lent car le corps ne peut affecter dans ce but qu'une partie de l'énergie, l'autre partie étant affectée aux activités et au travail quotidien." tiré : "Le jeûne, le meilleur remède de la nature"
Agents toxiques (Pr Joyeux)
Les substances toxiques (pesticides, métaux lourds, molécules chimiques qui viennent de notre alimentation, des médicaments, etc.) ne remontent pas rapidement vers une porte de sortie, elles s’enfouissent au cœur de nos tissus, finissent par arriver à nos cellules et par perturber notre ADN. (Pr Henri Joyeux)
Santé Innovation 20 février 2015
http://editions.santenatureinnovation.com/XSW1Q326?
Santé Innovation 20 février 2015
http://editions.santenatureinnovation.com/XSW1Q326?
D'un jeûne à l'autre l'autolyse progresse
"D'un jeûne à l'autre, l'autolyse progresse; la détoxication reprend là où elle s'était arrêtée. Lucie, qui souffrait de fatigue chronique, a jeûné à deux reprises pour obtenir des résultats satisfaisants. Ayant appris à bien se nourrir, elle a conservé après son premier jeûne un bon état physiologique. Le deuxième jeûne fut donc doublement fructueux et efficace. Les réactions s'enchaînent d'un jeûne à l'autre, en autant que l'état physiologique n'ait pas été détérioré per la reprise d'habitudes nocives (alcool, cigarette, excès de viandes ou de gras). Les habitudes de vie inadéquates qui polluent le corps raniment l'état toxémiques et compromettent l'amélioration de la santé." (Boudreau)
L'autolyse n'est pas un phénomène physiologique saisonnier
"L'autolyse n'est pas un phénomène physiologique saisonnier; elle est un processus routinier de toutes nos réparations physiologiques, qu'il pleuve, qu'il neige ou que les feuilles tombent."
(Boudreau)
Le jeûne n'est pas non plus assujetti à des cycles de 7 jours, même si certains l'imaginent (tel Saury), ni à des saisons particulières chez l'homme.
La voie royale
La cure de jeûne thérapeutique en clinique est enfin le traitement le plus efficace et le moins dangereux des affections du métabolisme dues à l'alimentation. Tout médecin spécialiste du jeûne vous le dira, un jeûne de longue durée représente la voie royale vers la guérison pour de nombreuses maladies aiguë ou chroniques. (Lützner)
Dernière édition par Luc le Ven 1 Jan 2016 - 10:52, édité 2 fois
Le jeûne thérapeutique agit en profondeur
Le jeûne thérapeutique s’attaque aux racines de la maladie et aux racines des comportements individuels. Un long jeûne de 18, 24, 32 jours ou plus intervient en profondeur dans le métabolisme du malade. C’est comme une opération chirurgicale sans scalpel qui a l’avantage considérable de ne pas agresser le corps et d’atteindre toutes les cellules de chaque organe en même temps. Chaque vaisseau sanguin est touché, chaque capillaire, l’ensemble du tissu conjonctif, partout où les substances pathogènes peuvent s’être accumulées. (Lützner)
Jeûner n'est pas dangereux
Le jeûne thérapeutique est une méthode vieille de plusieurs millénaires.
Pratiqué en établissement spécialisé sous la direction d'un médecin expérimenté, il ne présente aucun danger et pourtant agit en profondeur, car il obéit à des lois naturelles inscrites dans le corps humain. Il y a longtemps que la science a apporté les preuves de son action sur l'organisme. (Lützner)
La faim après 48 heures de jeûne
"Je ne pense pas que dans des cas de maladies aiguës où une fausse faim
persiste après quarante-huit heures de jeûne, que cela indique un besoin réel de nourriture.
Il n'y a pas de digestion possible dans ce cas-là, et il n’y a pas de besoin urgent
de nourriture avant que les réserves du malade n’aient été épuisées." (Shelton)
Moins on mange, mieux ça vaut !
"Les diètes de fruits, de légumes, de jus, les mono-diètes sont utiles, dans
la mesure où elles réduisent la quantité de nourriture ingérée quotidiennement.
Leur valeur augmente dans la mesure où la quantité totale de nourriture prise
quotidiennement diminue. Plus on se rapproche du jeûne et plus on retire de
bienfaits de la diète « curative »." (Shelton)
Nos réserves sont abondantes - Que nous soyons gras ou minces (Shelton)
"Chaque cellule et chaque organe a sa propre réserve de nourriture. En plus de cela, il y a une quantité considérable de glycogène accumulé dans le foie, un excédent de protéines et d'autres substances nutritives transportées dans le sang et dans la lymphe, plusieurs kilos de graisse dans le corps (même les personnes minces ont une quantité considérable de graisse), et beaucoup de réserves nutritives dans la moelle des os. Dans les glandes il y a une réserve considérable de vitamines. Il est possible que le corps puisse conserver et réutiliser ses vitamines comme il peut le faire pour le fer et certains autres minéraux. Collectivement, les provisions ci-dessus constituent une réserve nutritive qui est capable de subvenir aux besoins des organes vitaux et leurs fonctions durant des périodes de longueur considérable." (Shelton)
Réajustement nerveux (Shelton)
"La plupart des symptômes ressentis par le jeûneur sont dus au réajustement nerveux. Le mal de tête qui survient lorsqu'on arrête de boire du café et celui qui suit souvent et immédiatement l'arrêt de manger sont des processus de réajustement nerveux. La dépression et l'irritabilité qui parfois accompagnent le début d'un jeûne sont des processus de réajustement semblables à l'irritabilité et à la dépression qui suivent l'abandon du tabac."
Métaux lourds et jeûne (E.Curt)
Le jeûne n'aggrave jamais les symptômes dus aux métaux.
Il y a toujours une amélioration de l'état général, du fait qu'on élimine des acides.
Les métaux n'empêchent pas le jeûne, même s'ils le rendent plus pénibles : difficulté à le décider et à le commencer, faiblesse et amaigrissement plus prononcés, paralysie, crampes, décharges électriques, secousses, agitation, cauchemars, insomnies, trouver le temps long...
Les symptômes liés aux métaux peuvent apparaître pendant le jeûne, alors qu'on ne les avait pas auparavant, et ils se résorbent de la même façon que les autres symptômes.
Cure de fruits et de légumes : pas de carence (Shelton)
"Une diète de fruits et de légumes verts, même insuffisante, ne crée jamais de tels états (de carences)."
Le Jeûne (Shelton p.174)
Perte de poids sécuritaire !
"D'après la documentation médicale, une personne peut perdre jusqu'à 40% de son poids normal avant d'avoir épuisé toutes ses réserves énergétiques et d'atteindre la phase d'inanition. Pour éviter tout danger d'inanition, on prévient l'épuisement des réserves en se limitant à une perte de 25 % du poids normal." (Boudreau)
Dans les faits, lors de jeûnes très longs pour régler un important problème de santé, beaucoup descendent sous la bar des 25% dite sécuritaire.
Foie ; nausées, vomissements (Raphaël PEREZ)
Raphaël PEREZ a écrit:
Les nausées et les vomissements sont causées par un fort travail du foie. Ce fort travail peut s'enclencher n'importe quand durant le jeûne, surtout s'il s'agit d'un premier ou second jeûne. Les vomissements soulagent car il y a évacuation rapide des toxines excrétées par le foie. Enfin, la reprise alimentaire atténue l'intensité du travail du foie et des autres organes excréteurs ce qui explique le soulagement des symptômes.
Guérison définitive sans récidive (Boudreau)
"Lorsque le niveau de toxémie est élevé, le travail de régénération est complexe et laborieux. L'encrassement est généralisé, et les foyers infectieux sont multiples. Toute personne qui entreprend un jeûne thérapeutique doit comprendre que les étapes de sa guérison peuvent être nombreuses, et qu'elles se déroulent selon la 'logique' de l'organisme. Elle doit considérer que la détoxication générale de son corps est non seulement nécessaire, mais également la garantie d'une guérison définitive, sans récidive." (Boudreau)
D'un jeûne à l'autre ...
"D'un jeûne à l'autre, l'autolyse progresse; la détoxication reprend là où elle s'était arrêtée. (...) Les réactions s'enchaînent d'un jeûne à l'autre, en autant que l'état physiologique n'ait pas été détérioré par la reprise d'habitudes nocives (alcool, cigarette, excès de viandes ou de gras). Les habitudes de vie inadéquates qui polluent le corps raniment l'état toxémiques et compromettent l'amélioration de la santé." (Boudreau)
Durée du jeûne (Shelton)
Il n'est pas possible d'avoir une règle rigide pour nous guider ici; chaque cas devra être traité selon ses propres besoins et selon l'état général du malade. Habituellement, le jeûne devrait continuer jusqu'à l'obtention des résultats visés; cependant, il y des cas où ceci n'est pas réalisable ... Dans la maladie chronique on ne peut pas toujours jeûner jusqu'au bout. Si un malade chronique a commencé un jeûne qui ne lui provoque aucune complication, il n'y a pas de raison d'abandonner avant d'avoir obtenu les résultats désirés. (Shelton)
Intensité de l'autolyse
"Les réactions d'autolyse sont plus intenses lorsque le jeûneur est en repos complet, car les activités réparatrices de l'organisme sont accentuées. Le jeûneur qui se repose perd donc du poids, même s'il ne fait aucun sport." (Boudreau)
auto-psychanalyse (Rocan)
"La réflexion déclenchée en jeûne est profonde: Nous ne disposons pas d'exutoires pour oublier nos pensées tristes. On ne peut pas manger un chocolat pour se consoler, ou aller magasiner pour se changer les idées. Le face à face avec soi-même est donc complet. Un médecin italien, le Dr Sebastiano Magnone, qui étudie étroitement les états psychiques relatifs au jeûne, relate même que le jeûne permet la résurgence de traumatismes émotifs refoulés. La personne en jeûne revit les émotions négatives qui la troublent et agissent comme des corps étrangers dans sa personnalité psychique. Elle peut alors régler ces émotions troubles et s'en libérer. Le jeûne devient alors une séance thérapeutique d'auto-psychanalyse." (Rocan)
Le savoir-faire intelligent de l'organisme (Rocan)
"Le comportement homéostatique de l'organisme s'est toujours révélé d'une logique infiniment supérieure à celle de l'intellect humain. (...) Toutes les énergies de l'organisme se liguent pour autolyser un foyer d'infection à la fois, et le plus urgent en premier lieu. (...) Tout au long du jeûne, l'organisme procède par étapes bien définies avec une sagesse et une compétence qui feraient pleurer de jalousie tous les prix Nobel des deux dernières décades." tiré de la publication : Médecine de Demain (Rocan 1975)
Jeûne ou Randonnée (GOZZI-OSTAPTCHOUK)
Jeûne ou Randonnée
Jeûne-randonnée : Celui-ci est critiquable bien sûr ! Car incompatible !
Affaiblir les gens, les faire entrer dans des crises de détoxination puis les faire marcher pendant des
heures, c'est une aberration !
Il faut choisir : randonner ou jeûner, mais pas les deux. Le jeûne se pratique dans un lieu calme, serein,
seul face à soi même, sans contrainte physique ou mentale d'aucune espèce, avec un suivi très
personnalisé.
Nicolas GOZZI-OSTAPTCHOUK
https://www.lespritjeunecreusois.com/
Autolyse (GOZZI-OSTAPTCHOUK*)
Autolyse :
"Dès que nous entrons dans la phase du jeûne, l'organisme démarre ce
qu'on appelle le principe d'autolyse, les réserves de l'organisme sont
utilisées par les cellules après qu'elles aient subi des transformations
digestives semblables à celles qui se produisent dans le tube digestif. Ainsi
les graisses sont transformées en acides gras assimilables, les protéines en
acides aminés, le glycogène en glucose. Ce phénomène de digestion
interne des tissus, réalisé hors du tube digestif par des ferments (enzymes)
provenant des cellules elles-mêmes, est appelé autolyse."
* GOZZI-OSTAPTCHOUK, Nicolas : hygiéniste français et spécialiste du jeûne de la lignée
de Shelton ayant appris auprès des hygiénistes Albert Mosséri, Désiré Mérien et Jean-Claude Reygade.
Page 8 sur 9 • 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9
Page 8 sur 9
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum