Néo-Santé 27 octobre 2013 : Le cancer du sein ou le drame dans le nid
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Néo-Santé 27 octobre 2013 : Le cancer du sein ou le drame dans le nid
Paru dans la revue Néo-Santé : 27 octobre 2013
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En ce mois d’ « Octobre rose », difficile d‘échapper à la propagande du cancer-business : incitation à la mammographie par ci, appel aux financement de la recherche par là, chiffres affolants sur l’incidence de la maladie, articles rassurants sur les progrès de la médecine, espoirs de nouveau traitements, le point sur les « causes » environnementales et les prédispositions génétiques, le bilan sur les méthodes de prévention, reportages en veux-tu-en-voilà sur la chirurgie reconstructrice, les prothèses, les associations d’entraide, l’accompagnement des malades… Bref, le grand barnum médiatique habituel mais rien, absolument rien, sur LE SENS BIOLOGIQUE DU CANCER DU SEIN. Cela fait pourtant une trentaine d’années que le Dr Ryke Geerd Hamer a découvert que le cancer était la solution de survie du cerveau inconscient à un choc psycho-émotionnel. Pour les pathologies du sein, il en a situé l’origine dans ce qu’il a appelé des « conflits du nid », une expression reprise plus tard par la biologie totale et le décodage biologique. Même si le rôle de la pollution (pesticides, perturbateurs endocriniens, pilule contraceptive…) n’est pas à négliger, l’épidémie de tumeurs mammaires relève bien davantage de facteurs psychosociaux, comme la multiplication des divorces et l’éclatement des familles. Un cancer du sein, c’est le signal biologique qu’il s’est produit un « drame dans le nid » ! Et pour en guérir , il importe de dédramatiser et d’en résoudre concrètement la cause conflictuelle ! Puisque cette double information précieuse ne passe décidément pas la rampe, j’ai décidé de publier un extrait du livre LE SENS DES MAUX, dont le premier tome contient précisément le décodage du cancer du sein. Dans cet article, notre auteur Bernard Tihon résume très bien le processus naturel de cette affection tel que l’a mis à jour le Dr Hamer. Je vous invite à faire circuler ce texte sur les médias sociaux et à le partager avec toute personne que cela pourrait concerner. Les livres de Bernard sont disponibles dans toute bonne librairie et sont bien sûr en vente dans la boutique de notre site, en format papier ou numérique. Auteur de la trilogie LE SENS DES MAUX parue aux Editions Néosanté, Bernard Tihon est par ailleurs collaborateur de la revue mensuelle éponyme. Retrouvez-le chaque mois dans le Cahier Décodages situé au centre de la revue.
Yves Rasir
PS : merci aux internautes de partager de cette lettre hebdomadaire gratuite et bienvenue aux nouveaux abonnés de notre revue mensuelle payante. Vous pouvez vous abonner à la version numérique.
Le cancer du sein ou le drame dans le nid
« Dans quel sein vertueux avez-vous pris naissance ? » demande Racine dans la tragédie « Esther ». Beaucoup de femmes d’aujourd’hui se demandent à quel sein se vouer, tant est grande leur peur et leur détresse face à une maladie si courante, heureusement souvent guérie. Au lieu de cacher ce sein que l’on ne veut pas voir, essayons de comprendre, à la lumière de la logique biologique, le sens de cette maladie.
La chatte et la souris
Durant la guerre froide, les Russes, qui n’avaient pas la suprématie des armes face aux Américains, ont fait des expériences sur le cerveau, notamment celle-ci, un peu cruelle, prévenons les âmes sensibles. Une maman souris a été séparée de ses petits et on l’a mise sous électrodes pour contrôler son activité cérébrale. Les petits ont été emmenés dans un sous-marin à des milliers de kilomètres et noyés un à un à des moments précis. Aux mêmes moments, à chaque fois, on a enregistré un pic de stress dans le cerveau de la mère : une mère reste donc bien « reliée » à ses petits lorsqu’ils sont en danger loin d’elle à des milliers de kilomètres. Parmi les animaux, c’est la chatte la plus maternelle entre toutes les mamans, celle qui s’occupe le mieux de ses petits, et des cancers de la mamelle sont parfois diagnostiqués par les vétérinaires.
La maladie
Il existe plusieurs types de cancer du sein et c’est une matière où, vu le grand nombre de cas traités, le décodage biologique fait merveille de précision. Nous nous concentrerons ici sur deux d’entre eux : d’une part le cancer situé dans la glande mammaire, c’est-à-dire l’unité qui assure la production de lait par l’intervention de l’hormone prolactine, stimulée par la succion du mamelon, et qui déverse ses sécrétions dans les canaux galactophores ; d’autre part, celui qui est statistiquement le plus fréquent, le cancer situé dans les canaux galactophores, lesquels amènent le lait vers le mamelon.
L’étymologie
Le mot « sein » vient du latin « sinus », qui signifie pli, courbe. Le sinus romain désigne plus précisément le pli que fait la toge en travers de la poitrine lorsqu’elle est rejetée sur l’épaule. Les deux seins forment ainsi un seul pli, une seule courbe, un seul nid. D’ailleurs, le pluriel de « sein » n’est attesté que depuis le 19ème siècle : avant, les femmes n’avaient qu’un « sein » !
L’écoute et la lecture du verbe
Sein = sien = les siens, une préoccupation pour les siens, celles et ceux qui sont les plus proches du cœur, « sein » étant synonyme de « cœur », comme dans l’expression « au sein de… » qui signifie « au cœur de… », ou la formule vieillie « en son sein… » qui désigne la partie du corps de la femme où elle porte l’enfant qu’elle a conçu : c’est bien là que l’enfant va se lover, dans le sein maternel.
Tumeur mammaire = tu / meurs / ma / mère. On est mère de mère en fille et les drames qu’une mère vit avec ses enfants viennent réveiller sa propre mémoire des drames qu’elle a vécu, en tant que fille, avec sa mère.
Le sens biologique
Vu la fonction vitale du sein maternel, qui est de nourrir l’enfant nouveau-né, les cancers du sein seront généralement l’expression d’un sur-stress relatif à un conflit de nid. Lorsque le cancer touche la glande mammaire, le Dr Robert Guinée parle plus précisément d’un souci pour l’intégrité du nid. Chaque glande mammaire possède un sens biologique précis, lequel s’inverse en fonction de la latéralité de la personne (à vérifier par des tests). Le sein gauche d’une droitière est celui qu’elle réserve généralement en priorité à son enfant, il est relié à une notion de nid strict et il s’exprimera pour solutionner des drames par rapport aux enfants. Le sein droit d’une droitière est celui qu’elle garde en principe pour son mari, il est relié à la notion de nid élargi, c’est-à-dire à tout ce qui n’est pas la relation mère/enfant au sens strict et il s’exprimera pour solutionner des drames par rapport à l’homme, au mari, au partenaire, au père, au frère, au voisin, au collègue… C’est l’inverse pour une gauchère.
Attention, c’est le ressenti de la personne qui prime et lui seul qui enverra le programme d’un côté ou de l’autre, donc il peut y avoir des exceptions. De plus, le conflit de nid peut être ressenti de manière réelle, imaginaire, symbolique ou virtuelle. Par exemple, une femme chef d’entreprise peut ressentir son entreprise comme étant sa création, son enfant. Un animal de compagnie peut devenir un enfant de substitution. Mais dans les cas les plus fréquents, il s’agira de conflits avec les enfants ou le mari. Par exemple, une mère de 50 ans voit son fils partir, quitter le nid, avec une « mauvaise femme » et le croit en danger. Ou bien, c’est le mari qui met le nid en danger en trompant sa femme, celle-ci vivant le conflit plus en terme de nid que de séparation sexuelle.
Durant la phase active du conflit portant sur la glande mammaire, on observe une prolifération tumorale de +/- 7 mm en deux mois. Le sens biologique est d’accroître la production de lait à valeur nutritive accrue pour l’enfant ou le partenaire en danger. Après la solution du conflit, la tumeur s’arrête et on observe soit une caséification par des micro-organismes, puis l’apparition de caverne, soit un kyste ou une tumeur bénigne.
Dans le cas d’un cancer touchant les canaux galactophores, il y aura une tonalité conflictuelle de séparation : soit un conflit de séparation dans la relation mère-enfant (nid strict = sein gauche pour une droitière), soit un conflit de séparation dans la relation au partenaire (nid élargi = sein droit pour une droitière). « C’est comme si mon enfant avait été retiré de mon sein. » « On m’a pris mon homme. » « Je veux rassembler ma famille qui est éclatée. » Il n’est pas étonnant que ce cancer soit le plus fréquent dans notre société à une époque où les femmes ont habituellement peu d’enfants et où les divorces sont fréquents. En phase active de conflit, il y aura ulcération des canaux galactophores, dont le sens biologique est de faciliter l’écoulement du lait vers le mamelon en augmentant le diamètre des canaux. Après solution du conflit, il y aura inflammation et, dans ce cas-ci, c’est à ce moment qu’apparaîtront les cellules cancéreuses, là où se trouvaient les ulcérations, ce qui empêche l’écoulement des sécrétions du sein. La tumeur grossit au même rythme que pour la glande mammaire et est proportionnelle à l’intensité du conflit qui l’a précédée.
Bernard Tihon
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En ce mois d’ « Octobre rose », difficile d‘échapper à la propagande du cancer-business : incitation à la mammographie par ci, appel aux financement de la recherche par là, chiffres affolants sur l’incidence de la maladie, articles rassurants sur les progrès de la médecine, espoirs de nouveau traitements, le point sur les « causes » environnementales et les prédispositions génétiques, le bilan sur les méthodes de prévention, reportages en veux-tu-en-voilà sur la chirurgie reconstructrice, les prothèses, les associations d’entraide, l’accompagnement des malades… Bref, le grand barnum médiatique habituel mais rien, absolument rien, sur LE SENS BIOLOGIQUE DU CANCER DU SEIN. Cela fait pourtant une trentaine d’années que le Dr Ryke Geerd Hamer a découvert que le cancer était la solution de survie du cerveau inconscient à un choc psycho-émotionnel. Pour les pathologies du sein, il en a situé l’origine dans ce qu’il a appelé des « conflits du nid », une expression reprise plus tard par la biologie totale et le décodage biologique. Même si le rôle de la pollution (pesticides, perturbateurs endocriniens, pilule contraceptive…) n’est pas à négliger, l’épidémie de tumeurs mammaires relève bien davantage de facteurs psychosociaux, comme la multiplication des divorces et l’éclatement des familles. Un cancer du sein, c’est le signal biologique qu’il s’est produit un « drame dans le nid » ! Et pour en guérir , il importe de dédramatiser et d’en résoudre concrètement la cause conflictuelle ! Puisque cette double information précieuse ne passe décidément pas la rampe, j’ai décidé de publier un extrait du livre LE SENS DES MAUX, dont le premier tome contient précisément le décodage du cancer du sein. Dans cet article, notre auteur Bernard Tihon résume très bien le processus naturel de cette affection tel que l’a mis à jour le Dr Hamer. Je vous invite à faire circuler ce texte sur les médias sociaux et à le partager avec toute personne que cela pourrait concerner. Les livres de Bernard sont disponibles dans toute bonne librairie et sont bien sûr en vente dans la boutique de notre site, en format papier ou numérique. Auteur de la trilogie LE SENS DES MAUX parue aux Editions Néosanté, Bernard Tihon est par ailleurs collaborateur de la revue mensuelle éponyme. Retrouvez-le chaque mois dans le Cahier Décodages situé au centre de la revue.
Yves Rasir
PS : merci aux internautes de partager de cette lettre hebdomadaire gratuite et bienvenue aux nouveaux abonnés de notre revue mensuelle payante. Vous pouvez vous abonner à la version numérique.
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Le cancer du sein ou le drame dans le nid
« Dans quel sein vertueux avez-vous pris naissance ? » demande Racine dans la tragédie « Esther ». Beaucoup de femmes d’aujourd’hui se demandent à quel sein se vouer, tant est grande leur peur et leur détresse face à une maladie si courante, heureusement souvent guérie. Au lieu de cacher ce sein que l’on ne veut pas voir, essayons de comprendre, à la lumière de la logique biologique, le sens de cette maladie.
La chatte et la souris
Durant la guerre froide, les Russes, qui n’avaient pas la suprématie des armes face aux Américains, ont fait des expériences sur le cerveau, notamment celle-ci, un peu cruelle, prévenons les âmes sensibles. Une maman souris a été séparée de ses petits et on l’a mise sous électrodes pour contrôler son activité cérébrale. Les petits ont été emmenés dans un sous-marin à des milliers de kilomètres et noyés un à un à des moments précis. Aux mêmes moments, à chaque fois, on a enregistré un pic de stress dans le cerveau de la mère : une mère reste donc bien « reliée » à ses petits lorsqu’ils sont en danger loin d’elle à des milliers de kilomètres. Parmi les animaux, c’est la chatte la plus maternelle entre toutes les mamans, celle qui s’occupe le mieux de ses petits, et des cancers de la mamelle sont parfois diagnostiqués par les vétérinaires.
La maladie
Il existe plusieurs types de cancer du sein et c’est une matière où, vu le grand nombre de cas traités, le décodage biologique fait merveille de précision. Nous nous concentrerons ici sur deux d’entre eux : d’une part le cancer situé dans la glande mammaire, c’est-à-dire l’unité qui assure la production de lait par l’intervention de l’hormone prolactine, stimulée par la succion du mamelon, et qui déverse ses sécrétions dans les canaux galactophores ; d’autre part, celui qui est statistiquement le plus fréquent, le cancer situé dans les canaux galactophores, lesquels amènent le lait vers le mamelon.
L’étymologie
Le mot « sein » vient du latin « sinus », qui signifie pli, courbe. Le sinus romain désigne plus précisément le pli que fait la toge en travers de la poitrine lorsqu’elle est rejetée sur l’épaule. Les deux seins forment ainsi un seul pli, une seule courbe, un seul nid. D’ailleurs, le pluriel de « sein » n’est attesté que depuis le 19ème siècle : avant, les femmes n’avaient qu’un « sein » !
L’écoute et la lecture du verbe
Sein = sien = les siens, une préoccupation pour les siens, celles et ceux qui sont les plus proches du cœur, « sein » étant synonyme de « cœur », comme dans l’expression « au sein de… » qui signifie « au cœur de… », ou la formule vieillie « en son sein… » qui désigne la partie du corps de la femme où elle porte l’enfant qu’elle a conçu : c’est bien là que l’enfant va se lover, dans le sein maternel.
Tumeur mammaire = tu / meurs / ma / mère. On est mère de mère en fille et les drames qu’une mère vit avec ses enfants viennent réveiller sa propre mémoire des drames qu’elle a vécu, en tant que fille, avec sa mère.
Le sens biologique
Vu la fonction vitale du sein maternel, qui est de nourrir l’enfant nouveau-né, les cancers du sein seront généralement l’expression d’un sur-stress relatif à un conflit de nid. Lorsque le cancer touche la glande mammaire, le Dr Robert Guinée parle plus précisément d’un souci pour l’intégrité du nid. Chaque glande mammaire possède un sens biologique précis, lequel s’inverse en fonction de la latéralité de la personne (à vérifier par des tests). Le sein gauche d’une droitière est celui qu’elle réserve généralement en priorité à son enfant, il est relié à une notion de nid strict et il s’exprimera pour solutionner des drames par rapport aux enfants. Le sein droit d’une droitière est celui qu’elle garde en principe pour son mari, il est relié à la notion de nid élargi, c’est-à-dire à tout ce qui n’est pas la relation mère/enfant au sens strict et il s’exprimera pour solutionner des drames par rapport à l’homme, au mari, au partenaire, au père, au frère, au voisin, au collègue… C’est l’inverse pour une gauchère.
Attention, c’est le ressenti de la personne qui prime et lui seul qui enverra le programme d’un côté ou de l’autre, donc il peut y avoir des exceptions. De plus, le conflit de nid peut être ressenti de manière réelle, imaginaire, symbolique ou virtuelle. Par exemple, une femme chef d’entreprise peut ressentir son entreprise comme étant sa création, son enfant. Un animal de compagnie peut devenir un enfant de substitution. Mais dans les cas les plus fréquents, il s’agira de conflits avec les enfants ou le mari. Par exemple, une mère de 50 ans voit son fils partir, quitter le nid, avec une « mauvaise femme » et le croit en danger. Ou bien, c’est le mari qui met le nid en danger en trompant sa femme, celle-ci vivant le conflit plus en terme de nid que de séparation sexuelle.
Durant la phase active du conflit portant sur la glande mammaire, on observe une prolifération tumorale de +/- 7 mm en deux mois. Le sens biologique est d’accroître la production de lait à valeur nutritive accrue pour l’enfant ou le partenaire en danger. Après la solution du conflit, la tumeur s’arrête et on observe soit une caséification par des micro-organismes, puis l’apparition de caverne, soit un kyste ou une tumeur bénigne.
Dans le cas d’un cancer touchant les canaux galactophores, il y aura une tonalité conflictuelle de séparation : soit un conflit de séparation dans la relation mère-enfant (nid strict = sein gauche pour une droitière), soit un conflit de séparation dans la relation au partenaire (nid élargi = sein droit pour une droitière). « C’est comme si mon enfant avait été retiré de mon sein. » « On m’a pris mon homme. » « Je veux rassembler ma famille qui est éclatée. » Il n’est pas étonnant que ce cancer soit le plus fréquent dans notre société à une époque où les femmes ont habituellement peu d’enfants et où les divorces sont fréquents. En phase active de conflit, il y aura ulcération des canaux galactophores, dont le sens biologique est de faciliter l’écoulement du lait vers le mamelon en augmentant le diamètre des canaux. Après solution du conflit, il y aura inflammation et, dans ce cas-ci, c’est à ce moment qu’apparaîtront les cellules cancéreuses, là où se trouvaient les ulcérations, ce qui empêche l’écoulement des sécrétions du sein. La tumeur grossit au même rythme que pour la glande mammaire et est proportionnelle à l’intensité du conflit qui l’a précédée.
Bernard Tihon
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