Jeûne et santé
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Cancer, chimiothérapie et jeûne (2)

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Cancer, chimiothérapie et jeûne (2) Empty Cancer, chimiothérapie et jeûne (2)

Message  Luc Lun 17 Sep 2012 - 22:09

Le jeûne protège les cellules saines des souris contre la chimiothérapie

CHICAGO (AFP) - Faire jeûner des souris pendant deux jours permet de protéger les cellules saines de leur organisme contre les effets toxiques de la chimiothérapie, une découverte potentiellement importante pour traiter le cancer, selon des travaux publiés lundi aux Etats-Unis. Les souris prenant des doses élevées de chimiothérapie après deux jours sans nourriture ont continué à être vigoureuses tandis que la moitié de celles du groupe témoin normalement nourries sont mortes.

En outre, les survivantes du groupe ayant été nourri ont continué à perdre du poids et à s'affaiblir, explique Valter Longo, de l'Université de Californie du sud, le principal auteur de cette recherche parue dans les Annales de l'Académie nationale américaine des sciences datée du 31 mars 2008.

Des tests conduits sur des cellules humaines dans des éprouvettes ont confirmé cette observation.

Par ailleurs, les souris forcées de jeûner n'ont montré "aucun signe de stress ou de douleur" après des séances de chimiothérapie qui étaient trois à cinq fois plus fortes que celles apppliquées à des humains, selon les données de l'étude.

Rendre la chimiothérapie plus sélective est l'objectif prioritaire de la médecine depuis plusieurs décennies. Les médecins pourraient ainsi mieux contrôler le cancer, voire le guérir, si la chimiothérapie n'était pas aussi destructrice pour le reste de l'organisme.

Le Dr Pinchas Cohen, un cancérologue et professeur de pédiatrie à l'Université de Californie à Los Angeles (ouest), a jugé cette recherche "très importante car selon lui elle établit un nouveau concept en biologie du cancer".

"Théoriquement, cette découverte ouvre de nouvelles voies de traitement chez les humains permettant des doses plus élevées de chimiothérapie et cela mérite d'être étudié dans des essais cliniques", ajoute-t-il.

"Cette approche pourrait être applicable dans peut-être une majorité de malades", relève le Dr David Quinn, un cancérologue et directeur médical du USC Norris Norris Hospital and Clinics (ouest).

Il pense que de nombreux cancérologues seraient disposés à tester le concept de jeûne découvert par Valter Longo et conseille à ses patients de rester à l'écoute pour des essais cliniques qui seraient organisés près de chez eux.

Selon Felipe Sierra, directeur du programme de biologie du vieillissement à l'Institut national du Vieillissement ,"il ne s'agit pas seulement d'un autre traitement anti-cancer mais d'une importante différence conceptuelle".

Alors que pendant des décennies les chercheurs ont travaillé au développement de traitements ciblant seulement les cellules cancéreuses, les travaux de Valter Longo se sont concentrés sur la protection des autres cellules, explique-t-il.

Valter Longo, est un chercheur dans le domaine du vieillissement qui enseigne la gérontologie et la biologie à l'université de Californie (USC).

Il a noté que l'idée de protéger des cellules saines contre les effets nocifs de traitement de chimiothérapie a probablement paru difficile à réaliser car le corps possède des cellules très variées qui répondent différemment aux traitements.

M. Longo, qui a demandé l'autorisation de procéder à un essai clinique à petite échelle, espère que des résultats pourront rapidement confirmer ses premières constatations.

"Nous devrions avoir des résultats assez solides seulement quelques semaines après le début de l'étude" et "si cela marche, d'ici un an, cela pourrait être mis en place dans de nombreux hôpitaux", a-t-il avancé.

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Message  Luc Lun 17 Sep 2012 - 22:14



Article sur le site Effervesciences

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LE JEÛNE AVANT LA CHIMIO: UN STRESS BÉNÉFIQUE
par GAUCHET @ 26/02/2010 – 20:44:42

Une courte période de jeûne avant une chimiothérapie permet au malade de bien mieux supporter cette épreuve, avec des résultats cliniques supérieurs.
Voici la conclusion d'une étude réalisée en Californie par Valter longo, et qu'il a publiée dans la revue savante Aging.
Certes, les tenants du jeûne, tout comme de nombreux médecins adeptes des médecines naturelles, avaient déjà argumenté dans ce sens. Mais cette publication est maintenant en ligne de mire , car la méthode est simple, économique, et pourrait s'intégrer dans de nombreux protocoles , et ce dès maintenant.


Valter Longo est un spécialiste de l'IGF, ou Insulin Groth Factor. Il s'agit d'un puissant facteur de croissance pour la cellule. Mais une cellule qui grossit est une cellule qui ne demande qu'à se diviser, et encore et encore tant que ce facteur est actif. L'IGF est un puissant facteur de croissance des tumeurs.
Or, la production de cet IGF se tarit spontanément lors de jeûne dépassant quelques heures: il était logique de penser que le fait de cesser l'alimentation avant une épreuve où l'on veut déstabiliser les cellules cancéreuses, devait permettre une efficacité accrue d'un protocole de chimio ...
Quelques malades, au courant de ses recherches, ont spontanément demandé à jeûner avant leur protocole de chimio. Oh, pas beaucoup ( pas assez!), dix personnes ...
Mais aux résultats, les patients ont décrit une épreuve bien moins éprouvante, des effets secondaires sensiblement gommés.
En quelque sorte du ressenti ... pas très scientifique ...

Alors Longo a entamé une étude sur des rongeurs ( c'est rare, de tester des animaux APRÈS les humains!), cette fois-ci avec toutes les précautions pour respecter les critères d'une étude valide): si 60% de ses rats ont survécu après un jeûne, aucun de l'autre groupe ( alimentation normale) n'a supporté une chimio volontairement très agressive ...
Ces résultats sont actuellement très commentés aux USA. Leur valeur est pourtant universelle...
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Mais on peut également comprendre autrement ce succès thérapeutique:
Lors d'un jeûne, toutes les cellules se trouvent en fringale de glucose ( surtout les cellules en division, qui en consomment encore plus ...), et s'installe en quelques heures un stress cellulaire qu'on commence à bien connaître. Pour protéger leur systèmes enzymatiques et leurs protéines de structure, les cellules stressées produisent à cadence forcée des HSP, ces hot shot protéines qui entourent et "chaperonnent" les molécules les plus vitales pour la cellule en difficulté.
Ainsi, et au delà du tarissement concernant l'IGF, la mise en place de HSP dans les cellules , avant une chimio qui représente un second stress oh combien plus puissant, permet aux cellules saines de mieux supporter l'épreuve.
On peut encore les aider autrement puisque des substances végétales ont cette capacité de booster la production des protéines de stress ( montée en puissance en 20 minutes contre 2 à 5 heures selon l'âge). C'est le cas de la figue de barbarie ( Opuntia ficus indica), qui contient dans l'épicarpe de ses fruits des facteurs de déclenchement pour les HSP: la figue de barbarie est un des seuls fruits qui résistent au plein soleil, justement grâce à la protection de ces HSP).
Ces facteurs sont disponibles sous forme de gélules, dans la spécialité " Préservation", du laboratoire Texinfine.


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Message  Luc Lun 17 Sep 2012 - 22:19



Nouvelles informations sur le Jeûne et la Chimiothérapie

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] (VO en anglais) (traduction automatique en français ici:)

" Les rapports de cas de 10 patients cancéreux suggèrent que le jeûne limité puisse aider certains individus à améliorer leur tolérance à la chimiothérapie.

Bien que les données annoncées ne sont pas encore confirmées, les rapports de cas publiés dans AGING de journal indiquent au moins que certains patients recevant la chimiothérapie peuvent tolérer le jeûne pour les périodes courtes et peuvent réduire la sévérité perçue des effets secondaires de chimiothérapie.

By Carl Marziali on January 14, 2010 7:24 AM

Les patients dans les études de cas ont jeûné pour les périodes différentes avant et après la chimiothérapie. Six qui ont reçu la chimiothérapie dans la combinaison tant avec un régime normal qu'avec un jeûne a signalé des effets secondaires plus légers que pendant les cycles de traitement quand ils ont mangé normalement. Les autres quatre, qui jeûnaient toujours avant et après la chimiothérapie, ont signalé ce qu'ils ont considéré pour être un niveau très bas d'effets secondaires.

Un essai clinique randomisé contrôlé est en cours au Centre de Norris Cancer USC pour déterminer si le jeûne (jusqu'à trois jours) peut réduire vraiment des effets secondaires de la chimiothérapie. Cet essai clinique concerne seulement les patients du cancer de la vessie. L'essai accepte encore des volontaires.

Les résultats de l'essai ne sont pas attendus avant au moins une année.

La Clinique Mayo dans Rochester, Minnesota., planifie aussi un essai pilote pour voir si le jeûne est "acceptable cliniquement," selon Charles Loprinzi, le professeur et président d'oncology.

Entre-temps, le premier partisan de la stratégie de jeûne, Valter Longo de l'École de Davis USC de Gérontologie, a souligné qu'aucun patient cancéreux ne devrait entreprendre un jeûne ou n'importe quelle sorte de régime inhabituel sans consulter son oncologiste, puisque le jeûne peut être dangereux pour de certains patients.

L'essai clinique est la suite de la recherche fondamentale publiée dans le journal des Procédures de l'Académie nationale de Science (PNAS) en mars 2008. Dans cette étude, Longo et son équipe ont montré que les souris avec le cancer qui avaient jeûné deux jours ont vécu plus long et ont toléré de hautes doses de chimiothérapie mieux que leurs homologues normalement nourris.

Longo a expliqué les résultats par un concept qu'il a appelé "la résistance différentielle au stress." Comme les animaux hibernants, les cellules en bonne santé privées de nourriture entrent dans un mode de haute protection et dans un mode de haute résistance. Mais les tumeurs désobéissent par définition aux ordres d'arrêter de croître.

La réponse au jeûne pourrait faire la différence entre les cellules saines et les cellules de cancer par leur résistance au stress. En jeûnant, les cellules en bonne santé pourraient être capables de résister à beaucoup plus à la chimiothérapie que les cellules de cancer.

À la suite du papier des Procédures (PNAS), "plusieurs patients cancéreux ont choisi d'entreprendre le jeûne avant la chimiothérapie et ont partagé leurs expériences avec nous," ont écrit les auteurs dans le journal AGING.

Les patients ont choisi de différentes périodes de jeûne, variant de 48 à 140 heures avant la chimiothérapie et/ou cinq à 56 heures après.

"Dans ce groupe petit et hétérogène de patients cancéreux, le jeûne a été bien toléré et a été associé à une réduction annoncée par eux-mêmes des effets secondaires multiples de la chimiothérapie," ont exposé les auteurs.

Ces rapports de cas peuvent être utiles aux praticiens cherchant à concevoir des procèdures pour évaluer l'efficacité d'une stratégie de jeûne à court terme.

"Seulement un essai clinique formel tel que l'essai clinique contrôlé et randomisé actuellement réalisé au Centre de Norris Cancer USC peut établir si le jeûne protège les cellules normales," ont souligné les auteurs.

Si l'essai clinique réussit, d'autres essais pourraient explorer si les patients qui jeûnent pourraient reçevoir de plus hautes doses de chimiothérapie..

Comme les effets secondaires toxiques forcent finalement une fin à la chimiothérapie, une capacité de résister à de plus hautes doses avec moins d'effets secondaires pourrait améliorer les chances d'un patient contre le cancer.

Les collaborateurs de Longo étaient Fernando Safdie, un maître-assistant à l'École de Davis USC et Tanya Dorff, oncologist à l'École Keck de Médecine d'USC; Min Wei, assistant de recherche le professeur , et Changhan Lee, le doctorant, USC l'École de Davis; David Quinn, oncologiste et directeur médical d'Hôpital de Norris USC et de Cliniques; Luigi Fontana, le professeur associé à l'université de Washington et l'investigateur en chef du Laboratoire de Nutrition à Istituto Superiore di Sanita' à Rome; et Pinchas Cohen, professeur et chef d'endocrinologie de pédiatrie à UCLA.
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Message  Luc Lun 17 Sep 2012 - 22:27


Qu'en est-il aujourd'hui?

Une année plus tard ... Voici ce qu'on peut lire en date du 2012-02-11

Une étude sur des lignées cellulaires et chez la souris montre que le jeûne peut ralentir la croissance et la dissémination des tumeurs et qu’il potentialise les effets de la chimiothérapie. On savait déjà qu’une courte période de jeûne peut protéger des cellules normales des souris (et peut-être même des patients) contre les effets toxiques de chimiothérapies. Il était important de connaître les effets du jeûne sur les cellules cancéreuses. Pour cela, des chercheurs ont entrepris des études, d’une part, sur des lignées cellulaires tumorales, d’autre part chez des souris porteuses de cancers.

Des lignées de cellules cancéreuses (5 lignées murines, 13 humaines) ont été incubées dans du sérum provenant soit de souris sous-alimentées soit de souris à jeun depuis deux jours. Résultat : le jeûne sensibilise la majorité des lignées à la doxorubicine et au cyclophosphamide. Chez des souris porteuses de tumeurs sous-cutanées de cancer du sein, de mélanome ou de gliome, le jeûne sans chimiothérapie peut ralentir dans certains cas la croissance tumorale aussi efficacement que deux cycles de chimiothérapie.

L’effet thérapeutique du jeûne est toutefois plus important lorsqu’il est associé à la chimiothérapie ; de plus, il permet d’administrer aux souris des doses supérieures, normalement létales, de chimiothérapie. Des essais cliniques de phase I portant sur des jeûnes de courte durée, deux jours avant et un jour après la chimiothérapie, ont déjà commencé aux États-Unis (Mayo Clinic et Los Angeles) et aux Pays-Bas. Ces essais portent sur des patients atteints de cancers du sein, de l’ovaire ou des voies urinaires.

Les résultats de ces travaux (qui portent uniquement sur la sécurité puisqu’il s’agit de phases I) seront connus dans deux à trois mois.

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Message  Luc Mar 30 Déc 2014 - 21:32

Tiré du livre de Thierry de Lestrade : "Le Jeûne, nouvelle thérapie?" :

Après ses publications de 2012, des centaines de patients, du monde entier, ont écrit
à Valter Longoi. « Ce n’est pas en dizaines ou en centaines, mais en milliers qu’on peut
estimer le nombre de malades qui ont jeûné de leur côté », nous a précisé le chercheur
en mars 2012. D’où l’urgence, pour lui, d’aller encore plus vite sur les essais
cliniques.

En 2012, deux fondations européennes (Umberto Veronezi Foundation et
Pink Ribbon Foundation aux Pays-Bas) accordent à Longo des crédits afin de lancer un
essai sur jeûne et cancer. Douze centres hospitaliers se sont mis sur les rangs, dont dix
en Europe : en Italie, en Allemagne, en Belgique, aux Pays-Bas, au Portugal, en Grèce,
en Serbie… et aussi en France. Un service du département d’oncologie médicale de
l’hôpital Avicenne, à Bobigny, a choisi de participer. (...)

Nouveauté introduite dans quelques hôpitaux européens, les patients choisis dans cet
essai ne jeûneront pas strictement à l’eau. Ils prendront une gamme de produits
constituant une sorte de substitut au jeûne. Cet ensemble appelé « ChemoLieve » est
composé de soupes, de boissons et de quelques barres alimentaires. Il a été mis au
point par Longo au sein d’une start-up dont il est un des fondateurs. On pourra s’en
étonner. Le chercheur nous a précisé ainsi sa démarche : « Nous avons mis au point ces
produits, car nombre de malades du cancer ont des difficultés à jeûner, soit pour des
raisons physiques (amaigrissement) ou psychologiques (peur). Quant à l’aspect
commercial, nous travaillons à ce que ce produit soit très peu cher, au prix d’un
complément alimentaire. »

Ces produits – qui sont très peu caloriques, cela ne ressemble pas du tout à un
« repas » – peuvent-ils réellement imiter les effets du jeûne ? « Nous les avons testés
sur les souris et nous avons noté les effets principaux que nous recherchons avec le
jeûne pour le cancer : baisse du glucose et des IGF-1, protection des cellules saines,
vulnérabilité des cellules cancéreuses… Après, bien sûr, que ceux qui peuvent jeûner à
l’eau le fassent, c’est très bien », conclut Longo. ChemoLieve n’a pas vocation à
remplacer réellement un jeûne. La privation de nourriture provoque d’importants
réajustements sur l’ensemble de l’organisme, ne serait-ce que par le repos du tractus
intestinal qui peut augmenter le niveau des défenses immunitaires.
Le produit de Longo
paraît donc d’un usage ponctuel, destiné à une certaine catégorie de malades.

« On avance à un train de sénateur », regrette le cancérologue. Comme on l’a vu,
cette longueur des protocoles d’essais thérapeutiques ne dissuadera pas les malades de
tenter eux-mêmes l’expérience.

C’est pourquoi on ne peut souhaiter qu’une chose : qu’ils soient mieux
accompagnés par les médecins qui les suivent. Ne pas accompagner les malades, c’est
laisser la place libre à toutes sortes de personnages sulfureux, sans formation médicale
solide, qui proposent des « cures miracles » à des malades vulnérables.

À la lecture des études de Valter Longo, une question se pose : si le jeûne seul peut
détruire des cellules cancéreuses avant la chimiothérapie, ne pourrait-on pas utiliser
cette thérapie comme un outil de prévention du cancer ? Certaines études vont dans ce
sens.



On peut constater le manque d'enthousiasme de la médecine officielle à procéder rapidement aux essais afin de démontrer que le jeûne peut réduire, voire même éliminer des cancers déjà existants.

Une histoire à suivre.

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