Jeûne, dépression et poids
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Jeûne, dépression et poids
Bonjour,
Après avoir beaucoup lu les différents posts, j'y vais.
Je suis un homme de 45 ans, 1m78, 112 kg (dimanche dernier) donc obèse et en dépression plus ou moins forte depuis plusieurs mois.
J'ai entamé un jeune à l'eau depuis lundi (dernière prise dimanche soir, absolument pas "préparatoire") dans l'objectif de retrouver "le moral" et perdre du poids.
Je n'ai aucune pathologie autre que les deux citées précédemment, j'ai déjà expérimenté le jeûne (24, 48 72h puis 6 jours il y a neufs mois)
J'en suis donc aujourd'hui au 4ème jours avec plusieurs questions :
1- Je ne ressent aucun des effets désagréables décrits dans de nombreux posts et j'en suis presque surpris. Mon alimentation, si elle est excessive, est saine (très peu de viande) une vision macrobiotique (même si pas toujours appliquée), bio, complet, AMAP. Pas d'alcool, trois quatre clopes roulées avec du 100% tabac léger (j'ai repris depuis un mois en raison de stress important), exercice doux régulier (marche, trotinette au quotidien) ... Est-ce que j'ai peu de toxines à éliminer ? Est-ce que le jeûne n'a pas encore produit ses effets ? C'est seulement aujourd'hui que mes selles ont disparus (mon transit est régulier et sans problème d'habitude)
2- Je continue à boire du café léger et fumer mes quelques roulées par jour car je n'envisage pas me priver à la fois de nourriture et de clopes. Est-ce réellement un problème pour mes objectifs spécifiques de santé mentale et poids ?
3- Ayant déjà expérimenté 6 jours sans problème (et même avec un assez grand bonheur) je souhaiterais aller plus loin (genre 12 jours) mais me trouve face à des contraintes sociales que je ne sais comment résoudre : vendredi ma copine qui me rejoint (généralement on aime bien faire un apéro dinatoire festif avec que des cochonneries), un repas "d'affaire" samedi midi, et deux repas de famille samedi soir et dimanche soir (Pâques) Ma question (peut-être insolvable) est la suivante : que manger ce WE pour pouvoir redémarrer un jeûne à l'eau lundi ou mardi, sans choc physiologique trop important et sans "perdre" les bénéfices des 5 premiers jours ? Cru, cuit, légumes, fruit, viande ?
Merci de vos réponses.
Frédéric
Après avoir beaucoup lu les différents posts, j'y vais.
Je suis un homme de 45 ans, 1m78, 112 kg (dimanche dernier) donc obèse et en dépression plus ou moins forte depuis plusieurs mois.
J'ai entamé un jeune à l'eau depuis lundi (dernière prise dimanche soir, absolument pas "préparatoire") dans l'objectif de retrouver "le moral" et perdre du poids.
Je n'ai aucune pathologie autre que les deux citées précédemment, j'ai déjà expérimenté le jeûne (24, 48 72h puis 6 jours il y a neufs mois)
J'en suis donc aujourd'hui au 4ème jours avec plusieurs questions :
1- Je ne ressent aucun des effets désagréables décrits dans de nombreux posts et j'en suis presque surpris. Mon alimentation, si elle est excessive, est saine (très peu de viande) une vision macrobiotique (même si pas toujours appliquée), bio, complet, AMAP. Pas d'alcool, trois quatre clopes roulées avec du 100% tabac léger (j'ai repris depuis un mois en raison de stress important), exercice doux régulier (marche, trotinette au quotidien) ... Est-ce que j'ai peu de toxines à éliminer ? Est-ce que le jeûne n'a pas encore produit ses effets ? C'est seulement aujourd'hui que mes selles ont disparus (mon transit est régulier et sans problème d'habitude)
2- Je continue à boire du café léger et fumer mes quelques roulées par jour car je n'envisage pas me priver à la fois de nourriture et de clopes. Est-ce réellement un problème pour mes objectifs spécifiques de santé mentale et poids ?
3- Ayant déjà expérimenté 6 jours sans problème (et même avec un assez grand bonheur) je souhaiterais aller plus loin (genre 12 jours) mais me trouve face à des contraintes sociales que je ne sais comment résoudre : vendredi ma copine qui me rejoint (généralement on aime bien faire un apéro dinatoire festif avec que des cochonneries), un repas "d'affaire" samedi midi, et deux repas de famille samedi soir et dimanche soir (Pâques) Ma question (peut-être insolvable) est la suivante : que manger ce WE pour pouvoir redémarrer un jeûne à l'eau lundi ou mardi, sans choc physiologique trop important et sans "perdre" les bénéfices des 5 premiers jours ? Cru, cuit, légumes, fruit, viande ?
Merci de vos réponses.
Frédéric
fboeufsa- Messages : 0
Date d'inscription : 17/04/2014
Re: Jeûne, dépression et poids
Bienvenue sur le forum!
Il est évident que nous ne pouvons pas cautionner un jeûne où du café et du tabac sont consommés. Cela est incompatible avec le but premier du jeûne qui agit en éliminant les contaminants de l'organisme. C'est un peu comme essayer de vider l'eau du bain tout en laissant les robinets ouverts. Boudreau écrit :
De nombreux témoignages démontrent qu'en l'espace de quelques jours de jeûne à l'eau, le goût de fumer disparaît invariablement et définitivement. D'ailleurs, une participante vient tout juste de terminer un jeûne où elle cessa de fumer, et dont le goût de fumer disparu totalement ... elle fumait entre 1,5 et 2 paquets par jour depuis 10 ans.
Voir aussi :
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Il est évident que nous ne pouvons pas cautionner un jeûne où du café et du tabac sont consommés. Cela est incompatible avec le but premier du jeûne qui agit en éliminant les contaminants de l'organisme. C'est un peu comme essayer de vider l'eau du bain tout en laissant les robinets ouverts. Boudreau écrit :
Pour lire la suite : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]"Un jeûne prurificateur se déroule sans aliments, mais surtout sans polluants: il serait contradictoire d'intoxiquer l'organisme au fur et à mesure qu'il se dépollue. On bannit donc le tabac, les drogues et les médicaments; on jeûne dans un environnement aéré et non vicié. (...)
On évite également une certaine pollution par le bruit et par l'image: il serait incongru de jeûner devant un écran de télévision criard, qui projette à répétition des annonces de bouffe et de bière ...
Le stress est une autre forme de pollution; il vaut mieux recréer un climat d'encouragement, d'harmonie et de calme autour de soi pour jeûner l'esprit et l'estomac tranquilles. Par exemple, il serait contre-indiqué de jeûner à la maiosn, pendant que nos proches cuisinent et nous 'accablent' d'odeurs alléchantes et persistantes à chaque heure de repas: c'est de la 'pollution' par l'odorat, pour qui désire faire abstinence.
Mais le problème des jeûnes domestiques est le plus souvent d'ordre psychologique: l'entourage du 'gréviste de la faim' est troublé. Les proches mal informés discutent sans fin avec l'absent de la tablée, qui en est quitte pour se justifier continuellement et prodiguer des leçons sur les bienfaits du jeûne et sur les conditions de calme qu'il requiert. Les tensions qui en résultent ne procurent pas un climat propice à la détoxication."
De nombreux témoignages démontrent qu'en l'espace de quelques jours de jeûne à l'eau, le goût de fumer disparaît invariablement et définitivement. D'ailleurs, une participante vient tout juste de terminer un jeûne où elle cessa de fumer, et dont le goût de fumer disparu totalement ... elle fumait entre 1,5 et 2 paquets par jour depuis 10 ans.
Voir aussi :
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Merci et au revoir
Bonjour Luc,
Merci pour la rapidité de votre réponse.
Je comprend votre posture, sincèrement, mais j’espérais aussi autre chose, du soutien par exemple et des réponses éventuellement.
Dans les différents posts que j'avais lu, j'avais cru percevoir une certaine tolérance sur les différentes formes de jeûne selon les individus et situations.
Ce qui m'avait convaincu de m'exposer, ce qui est contraire à ma nature. Apparemment, cette tolérance a des limites : deux cafés et 4 "gentilles" clopes.
Une fois de plus, je peux le comprendre même si cela me déçoit.
Bonne continuation au forum qui me semble malgré cela une ressource très importante pour les "jeûneurs".
Merci de supprimer mon post après que vous ayez lu cette réponse. Mon témoignage n'a plus vraiment de sens.
Cordialement.
Frédéric
Merci pour la rapidité de votre réponse.
Je comprend votre posture, sincèrement, mais j’espérais aussi autre chose, du soutien par exemple et des réponses éventuellement.
Dans les différents posts que j'avais lu, j'avais cru percevoir une certaine tolérance sur les différentes formes de jeûne selon les individus et situations.
Ce qui m'avait convaincu de m'exposer, ce qui est contraire à ma nature. Apparemment, cette tolérance a des limites : deux cafés et 4 "gentilles" clopes.
Une fois de plus, je peux le comprendre même si cela me déçoit.
Bonne continuation au forum qui me semble malgré cela une ressource très importante pour les "jeûneurs".
Merci de supprimer mon post après que vous ayez lu cette réponse. Mon témoignage n'a plus vraiment de sens.
Cordialement.
Frédéric
fboeufsa- Messages : 0
Date d'inscription : 17/04/2014
Re: Jeûne, dépression et poids
Sur ce forum, les gens s'informent sur comment exécuter un jeûne afin qu'il soit le plus profitable possible. Bien sûr, si quelqu'un nous dit qu'il va "jeûner" tout en prenant des jus, des bouillons et des fruits, cela est compatible avec le jeûne et nous l'encourageons.
D'autre part, si une personne nous dit qu'elle veut jeûner en prenant des médicaments pour la douleur, pour dormir ... qu'elle va fumer et prendre des alcaloïdes (café, thé, chocolat ...) nous ne pouvons pas l'encourager dans cette voie.
Sincèrement
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