Que fait-on durant le jeûne? (2)
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Que doit-on faire durant le jeûne?
Que fait-on durant le jeûne?
Conseils durant le jeûne (tiré de Jeûner pour revivre d'Albert Mosséri)
Pour faire face aux besoins de l'organisme qui jeûne, nous devrions éviter tous les facteurs qui constituent un stress (tension) sur les forces vitales. Notre but étant de prolonger les ressources du jeûneur autant que possible afin que le jeûne soit poursuivi aussi longtemps que nécessaire, sans danger, en évitant tout facteur supplémentaire d'énervatiion du malade. Le repos, par conséquent, devient d'importance primordiale pour le jeûneur.
Le repos physique
De temps en temps, on me rapporte l'histoire d'une personne qui a fait un jeûne tout en continuant ses activités journalières. Les résultats obternus sont moins satisfaisants. En effet, l'élimination se déroule à un rythme lent car le corps ne peut affecter dans ce but qu'une partie de l'énergie, l'autre partie étant affectée aux activités et au travail quotidien.
Beaucoup de personnes pensent qu'il faut maintenir ses activités journalières de peur de s'affaiblir. On peut effectivement maintenir presque toutes ses activités habituelles, surtout pour les obèses. Mais le jeûne ne devient pas plus efficace car le corps ne dispose ainsi que de l'énergie qu'il a économisée dans le travail digestif. Si ces personnes gardaient le lit, leur organisme disposerait d'une somme d'énergie double: celle qu'il employait pour digérer et celle qu'il imployait pour travailler. De la sorte, l'élimination et les travaux de régénérescence se poursuivraient à un rythme très accéléré avec les meileurs résultats.
Activité physique et jeûne???
Qu'en pense Shelton?
Concernant l'activité physique pendant le jeûne, on sait que Shelton était en faveur durant les premières années de sa carrière mais, par la suite, il réajusta son tir. Il écrit:
"Pendant un certain nombre d’années, j’ai fait continuer l’exercice dans le jeûne de la plupart des troubles chroniques. Ma règle était : « Des malades chroniques doivent faire de l’exercice quotidiennement pendant le jeûne, à moins de contre-indication ». J’insistais pour que l’exercice soit modéré et soigneusement adapté à la force du malade. Je faisais faire des exercices correctifs, nécessaires dans la plupart des cas. Ma règle était qu’il fallait éviter la fatigue.
J’acquis la conviction que, dans la plupart des cas, cela n’était pas une bonne pratique. Ma règle actuelle consiste à exiger le repos pour tous les malades qui jeûnent. Seuls les individus solides, qui jeûnent 10 jours ou deux semaines afin de faire un bon nettoyage interne, et les obèses qui jeûnent pour maigrir, font des exercices pendant le jeûne. Pendant le jeûne, le repos est l’élément essentiel. Après la reprise de nourriture, des exercices sont effectués."
l'activité physique est-elle contre-indiqué?
Une activité faible, modérée ou plus soutenue n'est pas contre-indiquée, mais pas encouragée par Shelton et Boudreau parceque celle-ci arrête l'autolyse. Encore là, tout dépend du but fixé, si c'est uniquement la perte de poids, en autant que le jeûneur ait l'énergie pour exécuter cette activité plus intense, il n'y a pas de contre-indication. Shelton écrit qu'un jeûneur peut être actif mais il dit aussi que cette activité peut épuiser le jeûneur. Sur notre ancien site, un participant (J-C Gruau) jeûna pendant 10 jours en effectuant 300 km à pied ; point à souligner, cet homme était dans la soixantaine. Il y a également de nombreux exemples de jeûneurs ayant été très actifs, exécutant des jeûnes de démonstration sans problème. Mais est-ce thérapeutique? Dans quel but jeûnons-nous?
Un lien vers cette expérience de JC Gruau est donné plus bas.
Un lien vers cette expérience de JC Gruau est donné plus bas.
Que fait-on durant le jeûne? (2)
Que fait-on pendant le jeûne?
"Le jeûne est un repos physiologique complet: on se dorlote sans gêne et sans culpabilité. Mais peut-on travailler pendant le jeûne? Peut-on jouer une partie de tennis ou doit-on garder continuellement le lit?
Dans certaines cliniques de jeûne, les gens font une activité physique (marche, bicyclette, natation), magasinent, se promènent dans la nature et font acte de présence au bureau. (...)
Le jeûne actif n'est pas thérapeutique. C'est une question de calories et d'énergie. Pour se détoxiquer en profondeur, le corps a besoin d'énergie; or le travail musculaire multiplie de dix à vingt fois sa dépense énergétique par rapport à l'organisme en repos. C'est un coût énergétique très onéreux pour un organisme en jeûne qui vit de ses réserves.
Quand une personne marche, elle doit fournir des calories aux muscles longs de ses cuisses; la circulation sanguine est amplifiée dans les jambes en action au détriment des autres organes. Le débit sanguin dans l'organisme ne peut être maximal dans tous les organes à la fois. Lorsqu'il y a afflux supplémentaire de sang dans un organe en travail, il y a baisse dans un autre.
Un organe en autolyse a besoin d'un apport d'énergie important, et la circulation sanguine s'y intensifie. La personne qui jeûne ressent clairement cet accroissement localisé du débit sanguin; elle ressent un engorgement dans l'organe en autolyse. Si elle décide de courir, la circulation sanguine est immédiatement canalisée vers les muscles des jambes; l'autolyse cesse alors complètement dans l'organe où elle se déroulait.
Les processus d'autolyse sont exigeants. Le repos stimule l'autolyse et l'activité physique le freine. Il est donc nettement préférable de garder le lit en période de jeûne et de dormir le plus possible. En panne de sommeil, on se détend, on reste allongé et on rêvasse. Pendant que l'on se repose et que l'on dort, le corps se transforme, se rénove. (...) Ces activités réparatrices ne s'accomplissent pas non plus si l'on jeûne debout. " (Boudreau)
"Le jeûne est un repos physiologique complet: on se dorlote sans gêne et sans culpabilité. Mais peut-on travailler pendant le jeûne? Peut-on jouer une partie de tennis ou doit-on garder continuellement le lit?
Dans certaines cliniques de jeûne, les gens font une activité physique (marche, bicyclette, natation), magasinent, se promènent dans la nature et font acte de présence au bureau. (...)
Le jeûne actif n'est pas thérapeutique. C'est une question de calories et d'énergie. Pour se détoxiquer en profondeur, le corps a besoin d'énergie; or le travail musculaire multiplie de dix à vingt fois sa dépense énergétique par rapport à l'organisme en repos. C'est un coût énergétique très onéreux pour un organisme en jeûne qui vit de ses réserves.
Quand une personne marche, elle doit fournir des calories aux muscles longs de ses cuisses; la circulation sanguine est amplifiée dans les jambes en action au détriment des autres organes. Le débit sanguin dans l'organisme ne peut être maximal dans tous les organes à la fois. Lorsqu'il y a afflux supplémentaire de sang dans un organe en travail, il y a baisse dans un autre.
Un organe en autolyse a besoin d'un apport d'énergie important, et la circulation sanguine s'y intensifie. La personne qui jeûne ressent clairement cet accroissement localisé du débit sanguin; elle ressent un engorgement dans l'organe en autolyse. Si elle décide de courir, la circulation sanguine est immédiatement canalisée vers les muscles des jambes; l'autolyse cesse alors complètement dans l'organe où elle se déroulait.
Les processus d'autolyse sont exigeants. Le repos stimule l'autolyse et l'activité physique le freine. Il est donc nettement préférable de garder le lit en période de jeûne et de dormir le plus possible. En panne de sommeil, on se détend, on reste allongé et on rêvasse. Pendant que l'on se repose et que l'on dort, le corps se transforme, se rénove. (...) Ces activités réparatrices ne s'accomplissent pas non plus si l'on jeûne debout. " (Boudreau)
Dernière édition par Luc le Ven 5 Oct 2012 - 0:24, édité 2 fois
Re: Que fait-on durant le jeûne? (2)
"Un jeûne prurificateur se déroule sans aliments, mais surtout sans polluants: il serait contradictoire d'intoxiquer l'organisme au fur et à mesure qu'il se dépollue. On bannit donc le tabac, les drogues et les médicaments; on jeûne dans un environnement aéré et non vicié. (...)
On évite également une certaine pollution par le bruit et par l'image: il serait incongru de jeûner devant un écran de télévision criard, qui projette à répétition des annonces de bouffe et de bière ...
Le stress est une autre forme de pollution; il vaut mieux recréer un climat d'encouragement, d'harmonie et de calme autour de soi pour jeûner l'esprit et l'estomac tranquilles. Par exemple, il serait contre-indiqué de jeûner à la maiosn, pendant que nos proches cuisinent et nous 'accablent' d'odeurs alléchantes et persistantes à chaque heure de repas: c'est de la 'pollution' par l'odorat, pour qui désire faire abstinence.
Mais le problème des jeûnes domestiques est le plus souvent d'ordre psychologique: l'entourage du 'gréviste de la faim' est troublé. Les proches mal informés discutent sans fin avec l'absent de la tablée, qui en est quitte pour se justifier continuellement et prodiguer des leçons sur les bienfaits du jeûne et sur les conditions de calme qu'il requiert. Les tensions qui en résultent ne procurent pas un climat propice à la détoxication." (Boudreau)
"Quand les animaux sont malades, ils refusent toute nourriture. C'est seulement lorsqu'ils se sont rétablis, et pas avant, qu’ils se remettent à manger. Il est aussi naturel ou normal pour l'homme de refuser la nourriture quand il est malade, que cela l'est pour les animaux. Sa répulsion naturelle pour la nourriture est un guide sûr qui lui indique quand il ne faut pas manger. Les aversions et les dégoûts des malades, spécialement pour la nourriture, le bruit, le mouvement, la lumière, l’air vicié, etc., ne doivent pas être ignorés. Ils expriment des mesures protectrices du corps malade." (Shelton)
On évite également une certaine pollution par le bruit et par l'image: il serait incongru de jeûner devant un écran de télévision criard, qui projette à répétition des annonces de bouffe et de bière ...
Le stress est une autre forme de pollution; il vaut mieux recréer un climat d'encouragement, d'harmonie et de calme autour de soi pour jeûner l'esprit et l'estomac tranquilles. Par exemple, il serait contre-indiqué de jeûner à la maiosn, pendant que nos proches cuisinent et nous 'accablent' d'odeurs alléchantes et persistantes à chaque heure de repas: c'est de la 'pollution' par l'odorat, pour qui désire faire abstinence.
Mais le problème des jeûnes domestiques est le plus souvent d'ordre psychologique: l'entourage du 'gréviste de la faim' est troublé. Les proches mal informés discutent sans fin avec l'absent de la tablée, qui en est quitte pour se justifier continuellement et prodiguer des leçons sur les bienfaits du jeûne et sur les conditions de calme qu'il requiert. Les tensions qui en résultent ne procurent pas un climat propice à la détoxication." (Boudreau)
"Quand les animaux sont malades, ils refusent toute nourriture. C'est seulement lorsqu'ils se sont rétablis, et pas avant, qu’ils se remettent à manger. Il est aussi naturel ou normal pour l'homme de refuser la nourriture quand il est malade, que cela l'est pour les animaux. Sa répulsion naturelle pour la nourriture est un guide sûr qui lui indique quand il ne faut pas manger. Les aversions et les dégoûts des malades, spécialement pour la nourriture, le bruit, le mouvement, la lumière, l’air vicié, etc., ne doivent pas être ignorés. Ils expriment des mesures protectrices du corps malade." (Shelton)
Point de vue de Mosséri
De son côté, Mosséri écrit :
"Le jeûne est un repos physiologique. L'organisme ne peut fonctionner qu'avec de l'énergie nerveuse. Or l'élimination des déchets nécessite elle aussi de l'énergie. Comme dans la vie courante, cette énergie est dépensée dans tous les domaines: musculaire, digestif, nerveux, sexuel, etc., la toxémie s'accumule faute délimination adéquate. C'est pourquoi on a besoin de réduire la dépense d'énergie un peu partout pour qu'elle soit utilisée davantage dans la voie de l'élimination.
C'est pourquoi ceux qui jeûnent et qui continuent leurs occupations quotidiennes, sans garder le lit comme nous le recommandons, ratent leur but et éliminent (autolysent) très peu. On peut maintenir ses activités habituelles durant le jeûne, mais dans ce cas on ne profite pas du jeûne."
Le repos physique
Si un jeûneur garde le lit dès le début de son jeûne, il remarque qu'il n'a plus de forces pour marcher ni pour courir. Il craint de se 'rouiller' et pense bien faire de s'activer un peu. L'erreur est profonde. Le corps ne s'affaiblit pas du tout. Il dévie tout simplement ses énergies vers l'élimination et la réparation. Les énergies sont latentes et intactes, dirigées vers dautres canaux. Cela ne veut pas dire non plus que l'on devienne invalide. Les énergies sont provisoirement retirées des organes sexuels comme elles sont retirées des muscles de façon temporaire aussi." (Mosséri)
Voici un exemple courant, que tous ont pu noter dans leur vie. Lors d'une grippe, l'organisme dévie une grande partie de ses énergies pour éliminer la source d'infection. Il augmente la température du corps, et réquisitionne nos énergies, ce qui a pour résultat que la fatigue s'installe puisque peu d'énergies sont disponibles pour les muscles et le cerveau. Donc ... il ne reste qu'une chose à faire, collaborer avec notre organisme en prenant du repos tout en jeûnant. D'ailleurs, instinctivement, la faim est coupée durant une grippe.
"Le jeûne est un repos physiologique. L'organisme ne peut fonctionner qu'avec de l'énergie nerveuse. Or l'élimination des déchets nécessite elle aussi de l'énergie. Comme dans la vie courante, cette énergie est dépensée dans tous les domaines: musculaire, digestif, nerveux, sexuel, etc., la toxémie s'accumule faute délimination adéquate. C'est pourquoi on a besoin de réduire la dépense d'énergie un peu partout pour qu'elle soit utilisée davantage dans la voie de l'élimination.
C'est pourquoi ceux qui jeûnent et qui continuent leurs occupations quotidiennes, sans garder le lit comme nous le recommandons, ratent leur but et éliminent (autolysent) très peu. On peut maintenir ses activités habituelles durant le jeûne, mais dans ce cas on ne profite pas du jeûne."
Le repos physique
Si un jeûneur garde le lit dès le début de son jeûne, il remarque qu'il n'a plus de forces pour marcher ni pour courir. Il craint de se 'rouiller' et pense bien faire de s'activer un peu. L'erreur est profonde. Le corps ne s'affaiblit pas du tout. Il dévie tout simplement ses énergies vers l'élimination et la réparation. Les énergies sont latentes et intactes, dirigées vers dautres canaux. Cela ne veut pas dire non plus que l'on devienne invalide. Les énergies sont provisoirement retirées des organes sexuels comme elles sont retirées des muscles de façon temporaire aussi." (Mosséri)
Voici un exemple courant, que tous ont pu noter dans leur vie. Lors d'une grippe, l'organisme dévie une grande partie de ses énergies pour éliminer la source d'infection. Il augmente la température du corps, et réquisitionne nos énergies, ce qui a pour résultat que la fatigue s'installe puisque peu d'énergies sont disponibles pour les muscles et le cerveau. Donc ... il ne reste qu'une chose à faire, collaborer avec notre organisme en prenant du repos tout en jeûnant. D'ailleurs, instinctivement, la faim est coupée durant une grippe.
Re: Que fait-on durant le jeûne? (2)
Tout ce qu’écrivent plus haut les spécialistes du jeûne est exact et souhaitable pour les gens ayant certains problèmes de santé à régler. On sait que le repos stimule l’autolyse et que l’activité la freine; cependant, si nous sommes en bonne santé, à tout le moins en apparence, et que nous désirons uniquement perdre du poids, un jeûne actif, en autant que nous en ayons les capacités, pourrait être envisagé, pourquoi pas!
Il est vrai qu’un jeûne actif n’est pas thérapeutique mais, lorsque le jeûneur actif prend du repos ou va au lit, l’autolyse s’active. Du fait que la personne soit en jeûne, l’activité autolytique durant le sommeil doit assurément se mettre en branle beaucoup plus rapidement; le jeûne devient donc également thérapeutique durant ces périodes de repos.
Point de vue de Shelton
Shelton écrit qu'une personne active perdra plus de poids qu'un jeûneur inactif. Lorsque Nicole Boudreau écrit qu'un jeûneur inactif perdra autant de poids qu'un autre actif, il faut s'entendre ; il y a activité et activité ... il est logique et certain qu'une personne ayant une activité relativement intense perdra plus de poids qu'une autre effectuant ses tâches quotidiennes relativement peu énergivores tout en jeûnant. Cette deuxième personne perdrait sans doute autant de poids si elle jeûnait au repos, puisque l'autolyse qui s'activerait nécessiterait beaucoup d'énergie.
Finalement, il n'y a pas réellement de contradiction entre Shelton et Boudreau mais plutôt une observation sous un angle différent. Une chose est certaine, un jeûne actif est peu thérapeutique selon eux.
Une activité plus soutenue n'est pas contre-indiqué non plus mais pas encouragé par Shelton et Boudreau parceque celle-ci arrête l'autolyse. Encore là, tout dépend du but fixé, si c'est uniquement la perte de poids, en autant que le jeûneur ait l'énergie pour exécuter cette activité plus intense, il n'y a pas de contre-indication. Shelton écrit qu'un jeûneur peut être actif mais il dit aussi que cette activité peut épuiser le jeûneur. Sur le présent site, il y a un participant qui jeûna pendant 10 jours en effectuant 300 km à pied ; point à souligner, cet homme était dans la soixantaine. voir son expérience: Jeûne de démonstration 300 km à pied en 10 jours . Il y a également de nombreux exemples de jeûneurs ayant été très actifs, exécutant des jeûnes de démonstration, sans problème.
https://jeune-et-sante.forumcanada.org/t153-jeune-de-demonstration-300-km-a-pied-en-10-jours
Finalement, il n'y a pas réellement de contradiction entre Shelton et Boudreau mais plutôt une observation sous un angle différent. Une chose est certaine, un jeûne actif est peu thérapeutique selon eux.
Une activité plus soutenue n'est pas contre-indiqué non plus mais pas encouragé par Shelton et Boudreau parceque celle-ci arrête l'autolyse. Encore là, tout dépend du but fixé, si c'est uniquement la perte de poids, en autant que le jeûneur ait l'énergie pour exécuter cette activité plus intense, il n'y a pas de contre-indication. Shelton écrit qu'un jeûneur peut être actif mais il dit aussi que cette activité peut épuiser le jeûneur. Sur le présent site, il y a un participant qui jeûna pendant 10 jours en effectuant 300 km à pied ; point à souligner, cet homme était dans la soixantaine. voir son expérience: Jeûne de démonstration 300 km à pied en 10 jours . Il y a également de nombreux exemples de jeûneurs ayant été très actifs, exécutant des jeûnes de démonstration, sans problème.
https://jeune-et-sante.forumcanada.org/t153-jeune-de-demonstration-300-km-a-pied-en-10-jours
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