Dépression, insomnie (cas difficile)
Jeûne et santé :: Récits d'expériences de jeûne :: Jeûne vs problèmes de santé (études et témoignages)
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Dépression, insomnie (cas difficile)
Dépression, insomnie (cas difficile)
À 47 ans, elle souffrait de dépression nerveuses, d'insomnies et se droguait pour dormir et se calmer avec des tranquillisants, des somnifères, des sédatifs. Elle fit une tentative de suicide et fit un séjour dans un hôpital psychiatrique.
Nous demandâmes à son fils de séjourner avec elle de crainte qu'elle fit de violentes crises d'élimination comme nous l'attendions. En effet, l'arrêt des traquillisants provoque souvent des crises violentes d'élimination qu'il vaut mieux atténuer en atténuant le jêune pour commencer. Elle arrêta les médicaments brusquement chez nous et s'alimenta de façon hygiéniste durant 3 jours. Ensuite, elle jeûna 18 jours et décida de couper le jeûne pour rentrer.
Durant ce jeûne, elle se sentit à merveille et fit contre notre avis de longues marches sans ennuis. Sa langue était blanche comme la neige et amère en plus, ce qui dénote l'étendue de son intoxication organique.
La crise attendue au début se déclara à la rupture du jeûne: nausée, incapacité de marcher, de lire son courier, impossibilité d'écrire quoi que ce soit, sa vue était perturbée de sorte que ses yeux louchaient, elle ne voyait que peu et d'un seul oeil à la fois. Une boule la gênait à la gorge et un noeud à la poitrine.
En dépit de tous ces symptômes, son jeûne fut coupé très progressivement avec 50 g de tomate, trois fois par jour: midi, 15 heures et 18 heures. Au 10 ième jour, elle se lève un peu dans sa chambre et parle un peu mieux, ce qu'elle ne pouvait pas avant. Les nausées disparaissent et son appétit réapparaît. Elle reprend son sourire coutumier et l'espoir renaît dans son coeur après 30 ans de souffrances, de drogues et de misères physiques.
Si cette dame avait jeûné chez elle sans surveillance compétente ou qu'elle ait jeûné sour une surveillance peu compétente, les crises qu'elle a eu auraient effrayé n'importe qui dans son entourage et on aurait vite appelé un médecin en consultation. Ce dernier sans aucune expérience dans le jeûne, l'aurait rapidement hospitalisée avec les conséquences graves que l'on sait. Quand les crises prennent une tournure aussi grave que celles que nous avons décrites pour cette dame, il faut un surveillant avec une longue expérience. En effet, cette dame avait perdu partiellement durant ces crises la vue, la parole, la force de se tenir debout.
Tiré de "Jeûner pour revivre" (Albert Mosséri)
À 47 ans, elle souffrait de dépression nerveuses, d'insomnies et se droguait pour dormir et se calmer avec des tranquillisants, des somnifères, des sédatifs. Elle fit une tentative de suicide et fit un séjour dans un hôpital psychiatrique.
Nous demandâmes à son fils de séjourner avec elle de crainte qu'elle fit de violentes crises d'élimination comme nous l'attendions. En effet, l'arrêt des traquillisants provoque souvent des crises violentes d'élimination qu'il vaut mieux atténuer en atténuant le jêune pour commencer. Elle arrêta les médicaments brusquement chez nous et s'alimenta de façon hygiéniste durant 3 jours. Ensuite, elle jeûna 18 jours et décida de couper le jeûne pour rentrer.
Durant ce jeûne, elle se sentit à merveille et fit contre notre avis de longues marches sans ennuis. Sa langue était blanche comme la neige et amère en plus, ce qui dénote l'étendue de son intoxication organique.
La crise attendue au début se déclara à la rupture du jeûne: nausée, incapacité de marcher, de lire son courier, impossibilité d'écrire quoi que ce soit, sa vue était perturbée de sorte que ses yeux louchaient, elle ne voyait que peu et d'un seul oeil à la fois. Une boule la gênait à la gorge et un noeud à la poitrine.
En dépit de tous ces symptômes, son jeûne fut coupé très progressivement avec 50 g de tomate, trois fois par jour: midi, 15 heures et 18 heures. Au 10 ième jour, elle se lève un peu dans sa chambre et parle un peu mieux, ce qu'elle ne pouvait pas avant. Les nausées disparaissent et son appétit réapparaît. Elle reprend son sourire coutumier et l'espoir renaît dans son coeur après 30 ans de souffrances, de drogues et de misères physiques.
Si cette dame avait jeûné chez elle sans surveillance compétente ou qu'elle ait jeûné sour une surveillance peu compétente, les crises qu'elle a eu auraient effrayé n'importe qui dans son entourage et on aurait vite appelé un médecin en consultation. Ce dernier sans aucune expérience dans le jeûne, l'aurait rapidement hospitalisée avec les conséquences graves que l'on sait. Quand les crises prennent une tournure aussi grave que celles que nous avons décrites pour cette dame, il faut un surveillant avec une longue expérience. En effet, cette dame avait perdu partiellement durant ces crises la vue, la parole, la force de se tenir debout.
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