Tumeur à la gorge, ulcères dans l'oesophage et foie malade
Jeûne et santé :: Récits d'expériences de jeûne :: Jeûne vs problèmes de santé (études et témoignages)
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Tumeur à la gorge, ulcères dans l'oesophage et foie malade
Tumeur à la gorge, ulcères dans l'oesophage et foie malade
(courrier)
"... j'étais en parfaite santé, très sportif. Ma nourriture était celle de tout le monde. Je prenais des repas très abondants. Je me portais bien. Toutes mes activités fonctionnaient au mieux ...! Quoi qu'il en soit toute infraction continue, qu'elle soit consciente ou non, doit subir sa punition.
Depuis fin juin 1975, je me sentais donc en mauvaise santé: mauvaises digestions, maux dans le dos, maux dans la tête pendant plusieurs mois, perte de poids.
Depuis des mois, gêne à la gorge, signalée à plusieurs reprises, mais les médecins se refusaient à en tenir compte et cependant la douleur augmentait de plus en plus. Je me suis traîné dans cet état jusqu'en septembre 1975. Il n'était plus possible de continuer mon travail dans cet état. Je suis erntré en clinique: radios de l'estomac, constat d'inflammation de l'estomac et d'ulcérations de l'oesophage. Régime à prendre avec bismuth, piqûres. Traitement suivi pendant 1 mois sans résultat. À l'hôpital Croix-Rousse, je passe une nouvelle radio complète du tube digestif: ulcération de l'oesophage confirmée, plus l'inflammation de l'estomac. J'avais constamment des pertes d'équilibre. Vingt jours de séjour à l'hôpital. Ensuite séjour d'un mois dans une maison de repos: la maison Berliet à Lettrat. Je suivais le traitement. Les symptômes persistaient, nausées, maux de tête, pertes d'équilibre.
Nouveau constat à l'hôpital, toujours mêmes anomalies constatées. Une nouvelle radio de l'estomac, continuation du traitement, continuation un 2 ième mois dans cette maison de repos. Toujours persistance des mêmes symptômes. Et toujours cette gêne constante à la gorge qui persistait sourdement en empirant et dont personne ne voulait tenir compte.
Tous mes loisirs en dehors du travail, je les passais désespérément à la recherche d'une solution à mon cas. Puisque la médecine était impuissante, il fallait trouver obligatoirement une solution nouvelle qui, cette fois serait heureuse. Je consultais les ouvrages dans les librairies de Lyon, méthodiquement. Je recherchais donc les traitement dits naturels. Je suis tombé sur un ouvrage traitant du jeûne. Il m'a paru sensé, parfaitement logique, cohérent. J'y ai trouvé l'adresse de Mosséri. Je me suis réfugié désespérément chez lui. J'avais en moi un capital de confiance, d'espérance et d'énergie tel que je me sentais capable de jeûner cent jours si c'était nécessaire.
Mosséri arrêta le jeûne au 42 ième jour quand apparurent certains troubles visuels qui annoncèrent qu'une continuation serait dangereuse. Pendant les 30 premiers jours, j'ai eu le temps d'étudier dans les ouvrages ce qu'était l'hygiénisme.
Actuellement, tous mes troubles sont disparus, y compris ces maux de gorge que Mosséri suspectait comme un début de cancer. Je reprends mon alimentation, mes forces reviennent. Je me sens libéré, sauvé. H. S. Rillieux
La tumeur à la gorge qui le gênait en avalant a ainsi disparu à la fin du jeûne alors qu'elle persistait encore au 35 ième jour du jeûne. Plus aucune gêne en avanlant nourriture ou salive. D'autres part, les brûlures dans l'oesophage ont aussi disparu: c'était les signes des nombreuses ulcérations tout le long de ce tube. La douleur hépatique qui était constante pendant six mois avant la cure de jeûne a aussi disparu. Il a perdu en 42 jours de jeûne environ 18 kg et n'a repris qu'un seul en 4 semaines de réalimentation progressive. Dans quelques mois, il aura repris tout son poids perdu, surtout quand il aura repris ses activités.
Tiré de "Jeûner pour revivre" (Mosséri)
(courrier)
"... j'étais en parfaite santé, très sportif. Ma nourriture était celle de tout le monde. Je prenais des repas très abondants. Je me portais bien. Toutes mes activités fonctionnaient au mieux ...! Quoi qu'il en soit toute infraction continue, qu'elle soit consciente ou non, doit subir sa punition.
Depuis fin juin 1975, je me sentais donc en mauvaise santé: mauvaises digestions, maux dans le dos, maux dans la tête pendant plusieurs mois, perte de poids.
Depuis des mois, gêne à la gorge, signalée à plusieurs reprises, mais les médecins se refusaient à en tenir compte et cependant la douleur augmentait de plus en plus. Je me suis traîné dans cet état jusqu'en septembre 1975. Il n'était plus possible de continuer mon travail dans cet état. Je suis erntré en clinique: radios de l'estomac, constat d'inflammation de l'estomac et d'ulcérations de l'oesophage. Régime à prendre avec bismuth, piqûres. Traitement suivi pendant 1 mois sans résultat. À l'hôpital Croix-Rousse, je passe une nouvelle radio complète du tube digestif: ulcération de l'oesophage confirmée, plus l'inflammation de l'estomac. J'avais constamment des pertes d'équilibre. Vingt jours de séjour à l'hôpital. Ensuite séjour d'un mois dans une maison de repos: la maison Berliet à Lettrat. Je suivais le traitement. Les symptômes persistaient, nausées, maux de tête, pertes d'équilibre.
Nouveau constat à l'hôpital, toujours mêmes anomalies constatées. Une nouvelle radio de l'estomac, continuation du traitement, continuation un 2 ième mois dans cette maison de repos. Toujours persistance des mêmes symptômes. Et toujours cette gêne constante à la gorge qui persistait sourdement en empirant et dont personne ne voulait tenir compte.
Tous mes loisirs en dehors du travail, je les passais désespérément à la recherche d'une solution à mon cas. Puisque la médecine était impuissante, il fallait trouver obligatoirement une solution nouvelle qui, cette fois serait heureuse. Je consultais les ouvrages dans les librairies de Lyon, méthodiquement. Je recherchais donc les traitement dits naturels. Je suis tombé sur un ouvrage traitant du jeûne. Il m'a paru sensé, parfaitement logique, cohérent. J'y ai trouvé l'adresse de Mosséri. Je me suis réfugié désespérément chez lui. J'avais en moi un capital de confiance, d'espérance et d'énergie tel que je me sentais capable de jeûner cent jours si c'était nécessaire.
Mosséri arrêta le jeûne au 42 ième jour quand apparurent certains troubles visuels qui annoncèrent qu'une continuation serait dangereuse. Pendant les 30 premiers jours, j'ai eu le temps d'étudier dans les ouvrages ce qu'était l'hygiénisme.
Actuellement, tous mes troubles sont disparus, y compris ces maux de gorge que Mosséri suspectait comme un début de cancer. Je reprends mon alimentation, mes forces reviennent. Je me sens libéré, sauvé. H. S. Rillieux
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La tumeur à la gorge qui le gênait en avalant a ainsi disparu à la fin du jeûne alors qu'elle persistait encore au 35 ième jour du jeûne. Plus aucune gêne en avanlant nourriture ou salive. D'autres part, les brûlures dans l'oesophage ont aussi disparu: c'était les signes des nombreuses ulcérations tout le long de ce tube. La douleur hépatique qui était constante pendant six mois avant la cure de jeûne a aussi disparu. Il a perdu en 42 jours de jeûne environ 18 kg et n'a repris qu'un seul en 4 semaines de réalimentation progressive. Dans quelques mois, il aura repris tout son poids perdu, surtout quand il aura repris ses activités.
Tiré de "Jeûner pour revivre" (Mosséri)
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