Jeûne et hypermobilité articulaire
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Jeûne et hypermobilité articulaire
Bonjour Je suis nouveau sur le forum, je m appelle Christophe et j ai 39 ans.J'aimerais avoir votre avis sur mon histoire.
En gros il y a 5 ans j'ai eu banalement une entorse de la cheville. À l'hôpital on m'a mis un plâtre et j'ai donc eu des béquilles. Mon problème c'est que l'utilisation des béquilles quotidiennement me fatiguait beaucoup et j arrivais même à jeûner régulièrement dans la semaine.en gros je jeûnais quasi 1j sur 2 avec en plus l utilisation des béquilles durant 4 h par jour.j ai donc perdu beaucoup de poids tellement qu'au bout de 2 a 3 semaines j ai commencé a uriner abondamment comme si je perdais tout mes muscles du corps et s en est suivit une hypermobilité vertébrale avec un dos qui craquait du bassin a la 1ere cervicale.ceci a créé beaucoup de dérangement vertébrale avec des maux de tete et des dérangement digestif avec douleurs dorsales. Tant que j'ai eu cette hyper mobilité articulaire les ostéopathes ont pu rapidement me remettre en place en une voir deux séances c etait direct un réel bonheur mais le souci c'est que j'ai continué à avoir mes béquilles et a un moment donné j'ai arrêté de voir les ostéo.On m a enlevé mon plâtre, j'ai repris du poids sans consulté personne et le problème s est installé sur le long terme verrouillé par des contractures au cou et dans le dos. J aimerais avoir votre conseil car j ai tout essayé excepté de refaire un jeune plus ou moin long avec un suivit ostéopathique qu en pensez vous? Je débute dans le jeûne.merci
En gros il y a 5 ans j'ai eu banalement une entorse de la cheville. À l'hôpital on m'a mis un plâtre et j'ai donc eu des béquilles. Mon problème c'est que l'utilisation des béquilles quotidiennement me fatiguait beaucoup et j arrivais même à jeûner régulièrement dans la semaine.en gros je jeûnais quasi 1j sur 2 avec en plus l utilisation des béquilles durant 4 h par jour.j ai donc perdu beaucoup de poids tellement qu'au bout de 2 a 3 semaines j ai commencé a uriner abondamment comme si je perdais tout mes muscles du corps et s en est suivit une hypermobilité vertébrale avec un dos qui craquait du bassin a la 1ere cervicale.ceci a créé beaucoup de dérangement vertébrale avec des maux de tete et des dérangement digestif avec douleurs dorsales. Tant que j'ai eu cette hyper mobilité articulaire les ostéopathes ont pu rapidement me remettre en place en une voir deux séances c etait direct un réel bonheur mais le souci c'est que j'ai continué à avoir mes béquilles et a un moment donné j'ai arrêté de voir les ostéo.On m a enlevé mon plâtre, j'ai repris du poids sans consulté personne et le problème s est installé sur le long terme verrouillé par des contractures au cou et dans le dos. J aimerais avoir votre conseil car j ai tout essayé excepté de refaire un jeune plus ou moin long avec un suivit ostéopathique qu en pensez vous? Je débute dans le jeûne.merci
Tof- Messages : 2
Date d'inscription : 09/11/2021
Re: Jeûne et hypermobilité articulaire
Il n'existe que l'auto-guérison d'une part et d'autre part l'état naturel du corps est la santé totale, et cela jusqu'à la fin de la vie.
Auto-guérison est un synonyme pour jeûne. Tof, tu n'as jamais jeûné si tu mangeais un jour sur deux. En effet, par "jeûne" sur ce forum, nous parlons de passage à l'état cétogène càd épuisement des réserves de sucres simples. Il commence entre H26 et H30 (variable d'une personne à l'autre) et le bout du bout de la réserve en glucose n'est atteint qu'au bout d'une centaine d'heures. Avant cela, le nettoyage est tout à fait significatif, mais à partir de J5, on passe à un véritable dégorgement. Ce débusquage des toxines équivaut à une chimiothérapie car ces dernières sont remises dans la circulation sanguine en vue de les diriger vers les émonctoires (reins, intestins, poumons, foie, peau … nez, yeux, oreilles, vagin), càd qu'elles envahissent tout le corps : cerveau et muscles. Cela fait vraiment mal et l'usage du cerveau et des muscles est très diminué, remplacé même par une grande faiblesse. A cette faiblesse, s'ajoute le goût abject de la salive.
Comme tu débutes, je te conseille de ne pas adopté la conception habituelle du "vrai" jeûne qui veut que seul le jeûne hydrique (à l'eau "pure") est efficient. A la misère de la chimiothérapie décrite ci-dessus, n'ajoute pas la suppression déstabilisante de l'usage du goût. Comment ? En buvant uniquement des boissons goûteuses. Comme tout mets, les boissons sont soit sucrées soit salées.
Avant que la salive en bouche soit infâme, boire du sucré uniquement. Au bout de 10 (20, 30 ?) jours de jeûne, quand l'agression de la salive perd en intensité, revenir progressivement aux boissons sucrées, selon envie personnelle.
Quand la salive en bouche est dégoûtante, boire du salé uniquement.
Si toi-même ou d'autres lecteurs trouvent un sens à mon analyse, je donnerai une liste de breuvages. Ce que je tiens à dire dès maintenant est que le total calorique de ces boissons ne doit pas dépasser une trentaine de Calories par jour, sans quoi le débusquage des toxines commence à s'arrêter alors que l'amaigrissement continue !
Auto-guérison est un synonyme pour jeûne. Tof, tu n'as jamais jeûné si tu mangeais un jour sur deux. En effet, par "jeûne" sur ce forum, nous parlons de passage à l'état cétogène càd épuisement des réserves de sucres simples. Il commence entre H26 et H30 (variable d'une personne à l'autre) et le bout du bout de la réserve en glucose n'est atteint qu'au bout d'une centaine d'heures. Avant cela, le nettoyage est tout à fait significatif, mais à partir de J5, on passe à un véritable dégorgement. Ce débusquage des toxines équivaut à une chimiothérapie car ces dernières sont remises dans la circulation sanguine en vue de les diriger vers les émonctoires (reins, intestins, poumons, foie, peau … nez, yeux, oreilles, vagin), càd qu'elles envahissent tout le corps : cerveau et muscles. Cela fait vraiment mal et l'usage du cerveau et des muscles est très diminué, remplacé même par une grande faiblesse. A cette faiblesse, s'ajoute le goût abject de la salive.
Comme tu débutes, je te conseille de ne pas adopté la conception habituelle du "vrai" jeûne qui veut que seul le jeûne hydrique (à l'eau "pure") est efficient. A la misère de la chimiothérapie décrite ci-dessus, n'ajoute pas la suppression déstabilisante de l'usage du goût. Comment ? En buvant uniquement des boissons goûteuses. Comme tout mets, les boissons sont soit sucrées soit salées.
Avant que la salive en bouche soit infâme, boire du sucré uniquement. Au bout de 10 (20, 30 ?) jours de jeûne, quand l'agression de la salive perd en intensité, revenir progressivement aux boissons sucrées, selon envie personnelle.
Quand la salive en bouche est dégoûtante, boire du salé uniquement.
Si toi-même ou d'autres lecteurs trouvent un sens à mon analyse, je donnerai une liste de breuvages. Ce que je tiens à dire dès maintenant est que le total calorique de ces boissons ne doit pas dépasser une trentaine de Calories par jour, sans quoi le débusquage des toxines commence à s'arrêter alors que l'amaigrissement continue !
Serge Falmagne- Messages : 173
Date d'inscription : 13/01/2017
Age : 71
Localisation : Ardennes belges
Re: Jeûne et hypermobilité articulaire
Ok merci Serge mais en gros dans ma situation car j ai essayé beaucoup de chose me conseillerais tu d essayer de façon intelligente de jeûner. Est ce que ca peut réduire les inflammations articulaires et créer une meilleur mobilité pour qu un ostéopathe ou autre thérapeute manuel puisse m aider? J ai des dérangements vertébrales sur les 1ere cervicales et dans le dos.merci
Tof- Messages : 2
Date d'inscription : 09/11/2021
Re: Jeûne et hypermobilité articulaire
Bonjour Tof.
Tu as tout essayé sauf la seule chose qui marche, càd donner les commandes à ton corps qui est le seul à savoir comment cela fonctionne et ce dont il a besoin. Quand on mange la nourriture traditionnelle, le corps est presqu'à 100% mobilisé à juguler cette nourriture. En fait, il est continuellement débordé. C'est pour lui la première urgence, les autres problèmes (telles les inflammations dont tu parles) ne sont donc jamais traités. Donc clairement, oui, le jeûne VA réduire, pas seulement les inflammations au cou, mais le niveau inflammatoire de l'ensemble de l'organisme. Quand on mange ce que j'ai écrit, les aiguilles sont dans le rouge, dès qu'on arrête elles redescendent et sortent du rouge. Dans l'orange, la situation est stabilisée. Quand ton niveau inflammatoire est dans l'orange, tu seras déjà content et l'intervention d'un ostéopathe ou autre thérapeute sera superflue, non dangereuse, mais sans effet (sauf pour ton portefeuille).
Tu peux avoir des résultats nettement perceptibles pour ton problème de cervicales dès le début de la 2ème journée de jeûne, mais il se pourrait aussi que ce ne soit pas à J2 mais plus tard. Personne ne sait d'avance, chaque jeûne est personnel et c'est le jeûneur lui-même qui sent ce qu'il doit faire. Quoique le jeûneur fasse, s'il arrête son jeûne pour une raison x ou y, il a raison dans ce qu'il fait, il le fait dans un souci d'évolution. La seule chose pour laquelle je critique un jeûneur est lorsque le jeûne n'est pas remis sur le métier mais définitivement abandonné.
La conduite et la perception d'un jeûne est personnelle et compliquée quant à l'interprétation de ce qui se passe et qui est désagréable. Par exemple, je me suis retrouvé au 12ème jour d'un jeûne (en 2004) avec l'apparition d'un nouveau désagrément. J'avais une tension dans le cou et donc dans le port de la tête, que je sois couché au lit ou assis. J'ai donc déduit que je ne devais (pouvais) plus jeûner et j'ai arrêté ce jeûne. Entre l'apparition de cette tension et l'arrêt du jeûne, il s'est passé environ 6 heures. Au cours de jeûnes suivants, il est arrivé que ce problème advenait une seule fois et au cours d'une seule journée, puis que les jours suivants se passaient tout à fait normalement au niveau du port de la tête.
Bien à toi. N'hésite pas à demander, je suis volubile sur ce sujet par plaisir.
Tu as tout essayé sauf la seule chose qui marche, càd donner les commandes à ton corps qui est le seul à savoir comment cela fonctionne et ce dont il a besoin. Quand on mange la nourriture traditionnelle, le corps est presqu'à 100% mobilisé à juguler cette nourriture. En fait, il est continuellement débordé. C'est pour lui la première urgence, les autres problèmes (telles les inflammations dont tu parles) ne sont donc jamais traités. Donc clairement, oui, le jeûne VA réduire, pas seulement les inflammations au cou, mais le niveau inflammatoire de l'ensemble de l'organisme. Quand on mange ce que j'ai écrit, les aiguilles sont dans le rouge, dès qu'on arrête elles redescendent et sortent du rouge. Dans l'orange, la situation est stabilisée. Quand ton niveau inflammatoire est dans l'orange, tu seras déjà content et l'intervention d'un ostéopathe ou autre thérapeute sera superflue, non dangereuse, mais sans effet (sauf pour ton portefeuille).
Tu peux avoir des résultats nettement perceptibles pour ton problème de cervicales dès le début de la 2ème journée de jeûne, mais il se pourrait aussi que ce ne soit pas à J2 mais plus tard. Personne ne sait d'avance, chaque jeûne est personnel et c'est le jeûneur lui-même qui sent ce qu'il doit faire. Quoique le jeûneur fasse, s'il arrête son jeûne pour une raison x ou y, il a raison dans ce qu'il fait, il le fait dans un souci d'évolution. La seule chose pour laquelle je critique un jeûneur est lorsque le jeûne n'est pas remis sur le métier mais définitivement abandonné.
La conduite et la perception d'un jeûne est personnelle et compliquée quant à l'interprétation de ce qui se passe et qui est désagréable. Par exemple, je me suis retrouvé au 12ème jour d'un jeûne (en 2004) avec l'apparition d'un nouveau désagrément. J'avais une tension dans le cou et donc dans le port de la tête, que je sois couché au lit ou assis. J'ai donc déduit que je ne devais (pouvais) plus jeûner et j'ai arrêté ce jeûne. Entre l'apparition de cette tension et l'arrêt du jeûne, il s'est passé environ 6 heures. Au cours de jeûnes suivants, il est arrivé que ce problème advenait une seule fois et au cours d'une seule journée, puis que les jours suivants se passaient tout à fait normalement au niveau du port de la tête.
Bien à toi. N'hésite pas à demander, je suis volubile sur ce sujet par plaisir.
Serge Falmagne- Messages : 173
Date d'inscription : 13/01/2017
Age : 71
Localisation : Ardennes belges
Re: Jeûne et hypermobilité articulaire
Tof en message privé a écrit:
Je suis vraiment novice dans le domaine. Est-ce qu'il y a des choses par lesquelles il faut commencer, par exemple des jeûnes hydriques, ou est-ce qu'il faut commencer par jeûner uniquement sur une journée, puis 2 etc...
Salut Tof.
On commence comme on veut, on ne sait pas se tromper, ce qui compte c'est de commencer.
Voilà des choses préconisées pour commencer, toutes inutiles :
- Lavements ou purges intestinaux
- Descente alimentaire (manger de moins en moins lors des jours précédents J1)
- Se familiariser au jeûne avec des jeûnes de 24 heures (puis 25, 26 ...) Surtout pas, ce n'est que frustration et temps perdu.
Comme tu es déjà resté 24 heures sans manger plusieurs fois, ne pas manger ne te fait pas particulièrement peur.
Il faut bien se dire que le problème du jeûne prolongé n'est que mental, jamais physiologique. Pour le mental, comme écrit précédemment, plus vite tu te détournes du sacro saint jeûne hydrique et mieux c'est.
Je dirais que le premier jeûne doit être une prise de contact. C'est fait avec un jeûne de un jour ET sa nuit, càd prendre un dernier repas à J-1 (peu importe l'heure, mais disons fini à minuit au plus tard). P.e., le dernier repas a lieu ce mardi à 20h00 (suivi éventuellement d'une boisson due à la soif quelques heures plus tard). Le jeûne d'un jour dans ce cas va durer pendant la journée de mercredi et la nuit de mercredi à jeudi. Jeudi, au lever ou plus tard, comme tu veux, tu manges, ce que tu veux, dans la quantité qui te chante.
Là où je me permets de te conseiller, c'est d'éviter le jeûne hydrique dès ta première expérience. Autrement dit, prendre, p.e., 150 ou 300 ml de café (édulcoré artificiellement si tu l'aimes sucré). Pas juste au lever mais plus tard, tout en ne perdant pas de vue que le café est interdit pendant les 8 dernières heures de la journée (jeûne ou pas jeûne), rapport à l'endormissement et à la quiétude du sommeil. Bien sûr, tu peux prendre du succédané de café, une tisane (pas du thé) ... et dans ce cas le moment de l'ingestion n'a pas d'incidence sur le sommeil. Cette pratique est beaucoup plus humaine et diminue très fort l'accumulation de frustration mentale qui débouche sur un besoin de compensation lors de la rupture du jeûne. Avec cette pratique, le jeûne peut être prolongé de manière presqu'illimitée. Bien évidemment, tu peux aussi passer J1 sans rien boire parce que pas envie ou en buvant de l'eau parce que c'est ce que tu préfères. Il est évident qu'il faut pouvoir boire un café et ne pas manger après. Toutes ces choses peuvent sembler simplistes ou bébêtes, mais nous en sommes tous là.
Un détail pratique qui peut te servir. Alors qu'une journée dure habituellement 16 heures, bien souvent le corps lors de J1 demande le lit parfois après 8 heures de veille. Ce peut être pour quelques heures ou pour la nuit. Moi, la première nuit est systématiquement accompagnée de pensées obsessionnelles, une même chose sans intérêt qui revient tout le temps. Ce désagrément n'a lieu que lors de la première nuit.
Si tu ne t'endors pas en jeûne, prendre absolument un facilitateur chimique. C'est mon cas, je prends systématiquement 3 mg de benzodiazépine. Cela provoque évidemment une levée de boucliers quand le commun des mortels entend cela pour le jeûne. En jeûne, ne pas s'endormir crée de l'angoisse et de l'insécurité, et le manque de repos après une mauvaise nuit rend le jeûne épouvantable.
Serge Falmagne- Messages : 173
Date d'inscription : 13/01/2017
Age : 71
Localisation : Ardennes belges
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